Dr Sefrioui Morchid dévoile les secrets du développement personnel…

Un seul titre «Face à moi-même» qui se décline en sept tomes englobant sept concepts primordiaux, qui font que notre vie est faite de ce qu’on en fait. C’est ce que Dr Fatihat El Kheir Sefrioui Morchid, fondatrice du Centre Topzen, thérapeute certifiée, experte en addictions, vient de révéler à travers son concept interactif de cercle de lecture destiné à la connaissance de soi pour une vie meilleure : «C’est l’opportunité pour dire que personne n’est en charge de votre bienêtre, sauf vous, et si vous le manquez, l’univers sera contre vous et vous mettra dans la confusion», dit-t-elle.

Des ateliers sont dédiés à chaque tome présenté afin d’en approfondir la teneur. Ainsi, le premier tome invite à une initiation à la méditation, avec la conviction que la pleine conscience passe par la méditation : «Le but ultime de la méditation est d’atteindre le silence dans et autour de soi afin de connecter le langage du corps et le langage du mental. Il s’agit de libérer notre mental des pensées qui nous ligotent et de libérer le corps des tensions qui surgissent». Le second tome soulève la question de l’identité : «On apprendra qu’en fait, ces identités sont multiples. Mais il est communément admis que l’identité nous définit socialement et nous situe en société. L’atelier s’y référant s’attache à clarifier l’imbroglio entre l’identité sous l’emprise de l’ego qui sépare, et l’identité sous l’influence de l’âme qui unit». Le troisième tome met en exergue le vrai sens du pardon et tout le bénéfice qui en découle, si on le pratique, pour notre meilleur rayonnement, et pour notre paix intérieure car la paix, via le pardon : «C’est notre élévation. Se pardonner à soimême et pardonner à autrui est tout un art que cet atelier propose».

Le quatrième tome de «Face à moi-même» traite du stress, ce grand mal du siècle et la dévastation qu’il opère dans notre existence s’il n’est pas canalisé. Le stress à un certain degré et en certaines occasions peut être bénéfique s’il est ponctuel, et si on écoute le message derrière. Dans cet atelier on apprend donc à le gérer afin d’éviter qu’il ne s’installe durablement. Le cinquième tome se focalise sur les croyances dans la mesure où ces dernières sont silencieuses, puissantes et influençables : «C’est notre supra structure, elles vont permettre une immense motivation ou au contraire un manque d’intérêt. Contrôlons-les. Tout ce qu’on fait est propulsé par elles, d’une manière ou d’une autre. Le développement de cette étape en atelier dédié aux croyances est extrêmement important dans le développement personnel».

Le sixième tome aborde et approfondie le concept de l’estime de soi. C’est en fait une appréciation que l’on a pour notre propre valeur. C’est aussi une résultante de tous les ateliers précédemment décrits. En effet, l’estime de soi est boosté par l’auto-empathie : «C’est le contenu de notre vie», explique-t-elle.

Le dernier tome conclut sur la gratitude comme étant la meilleure attitude. L’intransigeance de notre société nous sanctionne sur ce que nous n’avons pas plutôt que se concentrer sur ce que nous avons. Le plus important pour être heureux est avant tout de posséder ce qu’on ne peut acheter.

Le programme que propose Dr Sefrioui Morchid, tous les mercredis et samedis, en soutien à la fondation Sociale Oum Keltoum, consiste donc au développement des sept tomes précités. Méditation, connaissance de soi pour finir par l’art de savoir dire merci, permettent une découverte et perfectionnement de soi-même dont l’apothéose est la reconnaissance du résultat obtenu.