Écho au jugement vaudois
Le verdict d’hier est à l’opposé de celui de la Cour d’appel du canton de Vaud fin septembre, qui avait condamné douze activistes pour une partie de tennis dans une succursale du Credit Suisse à Lausanne en 2018. En première instance, l’état de nécessité face à l’urgence climatique avait été reconnu. Me Batou, qui défend aussi ces militants et a fait recours auprès du TF, y plaidera le jugement genevois.