Julia a mis du temps à mesurer sa chance
FRANCE La nouvelle protégée de Mylène Farmer, qui vient de sortir son premier single, a conscience qu’elle devra affronter la jalousie de certains.
MUSIQUE A 17 ans, la nouvelle protégée de Mylène Farmer vit un conte de fées. Son tube «S.E.X.T.O.» cartonne dans les charts. Révélée par «The Voice Kids», la Française a ensuite été approchée par la star aux cheveux de feu. «Je n’ai pas tout de suite mesuré ma chance», a-t-elle avoué. La Haut-savoyarde se dit désormais guidée et écoutée, même si elle a d’abord été surprise par le ton et les paroles du single que lui ont réservé Mylène et son producteur. Mais la jeune fille assume. Elle confesse même avoir déjà envoyé des SMS osés.
On en sait un peu plus sur Julia. Interviewée par «Gala», l’ado que Mylène Farmer a prise sous son aile se livre pour la première fois depuis la sortie de son single «S.E.X.T.O.» (lire «20 minutes» du 10 septembre).
Ex-candidate de «The Voice Kids», la jeune Haut-savoyarde (elle a grandi à 40 km de Genève) avait 15 ans quand l’icône libertine et le producteur Laurent Boutonnat avaient souhaité la rencontrer. «Je n’ai pas tout de suite mesuré ma chance, confie-t-elle, j’ai pris conscience que je vivais un conte de fées au fur et à mesure de nos sessions de travail, à Paris.» Mylène Farmer, décrite comme «très maternelle», suscite l’admiration de la jolie blonde: «Je me sens à la fois écoutée et guidée. Nous avons beaucoup de points communs: notre humour et nos goûts vestimentaires.»
Le titre de la chanson que lui avait réservé le duo l’a surprise au départ, mais Julia avoue avoir elle-même déjà envoy des SMS osés. Sa mère a tenu à être présente lors de l’écoute du titre et l’a d’ailleurs validé. «J’ai retrouvé l’écriture de Mylène, qui joue avec les mots et les images», contiassurant nue-t-elle, en que les chansons s’inspirent de so vécu: «C’est du sur-mesure.»
Enfin, l’adolescente auâgée jourd’hui de 17 ans évoque un coachin bienveillant de la par de ses producteurs: «Ils m’ont préparée au fait que je ne plai rai peut-être pas à tout le monde et à la violence des résociaux.» seaux