De grosses dettes
L’entreprise canadienne se bat sur tous les fronts. Elle mène une politique de prix extrêmement agressive et doit licencier des milliers d’employés. Aujourd’hui, l’entreprise, qui emploie 69 500 personnes dans le monde, aurait des dettes estimées à 9,3 milliards de francs à cause de projets qui ont dérapé, relate le «Sonntagsblick». Comme avec le jet de courte portée C Series qui a été livré avec trois ans de retard. Pour ne pas faire un flop et sauver l’avion, Bombardier a vendu 50,1% de ses parts à Airbus.