TIVOLI CLASSY disponible en Tunisie
De Nouakchott à Tripoli, les mesures préventives voient le jour au cours de cet été 2020 que l’on savait du reste pas comme les précédents. Mais la population n’est pas toujours consciente des dangers.
Une nouvelle version du fameux SUV Tivoli de la marque SSangyong sera bientôt disponible dans les showrooms Automobiles Zouari en Tunisie.
D’une puissance de 128 chevaux et un couple de 230 Nm, le Tivoli CLASSY ne consomme en moyenne que 5,9 l/100 km et est proposé uniquement en version deux roues motrices et avec une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports.
Le Tivoli CLASSY affiche un look inégalé et se donne les moyens de séduire : épaules larges, angles marqués, flancs sculptés et un regard audacieux souligné des phares à LED. C'est un individualiste avec du style - contemporain et tout sauf ordinaire. Un profil précis avec des lignes de caractère clairement définies : le Tivoli CLASSY est irrésistible de tous les côtés et est tout simplement unique.
Cette nouvelle version est disponible en différentes couleurs permettant de satisfaire tous les goûts. Le client aura également la possibilité de choisir la version bi-couleurs qui lui permettra de personnaliser sa voiture et d’exprimer sa personnalité en choisissant parmi une palette de couleurs à la mode.
Sa dotation sécuritaire très complète ne manque pas d’intérêt. Le client a droit au détecteur de pression des pneus, à l'anti dévoiement actif, à l'aide au démarrage en côte, au freinage d’urgence automatique, à un radar et une caméra de recul et à 8 airbags frontaux et latéraux.
Il est équipé également du système ISG, permettant de réduire la consommation en carburant par l'arrêt automatique du moteur, lorsque le véhicule est à l'arrêt.
Avec son prix de 64 800 DT TTC et ses 3 ans de garantie (ou 100.000 km), cette nouvelle version améliore encore le positionnement déjà très favorable du Tivoli, qui se positionne comme l'un des SUV les plus avantageux du marché Tunisien.
Tivoli CLASSY sera disponible à partir de mi-août dans tous les showrooms SsangYong en Tunisie.
TIVOLI… I LOVE IT ! n
Nul n’a été surpris. Tout le monde savait effectivement que l’été 2020 n’allait pas être un été comme les précédents. Coronavirus oblige, de nombreuses villes maghrébines, notamment celles connues pour leur flux touristique, ont offert un spectacle quasi désertique.
A Hammamet ou encore à Sousse et à Nabeul, en Tunisie, par exemple, les voitures algériennes ont quasiment disparu. Ce qui n’a pas été évidemment du goût de nombreux habitants qui n’ont pas pu trouver de locataires pour leurs villas ou appartements.
Aussi, de nombreuses pancartes offrant des studios ou des appartements à louer, avec eau et gaz à tous les étages, sont restées lettre morte. Et les pertes sont inestimables : 2,9 millions d’Algériens ont visité la Tunisie en 2019.
A Nabeul plage, sur ce bout de territoire de la seconde ville touristique du Cap Bon –après Hammamet-, fait d’une corniche assurément
fréquentée, les restaurateurs et vendeurs de pop corn ou encore de maïs n’ont pas beaucoup le moral.
Certains tournent, à ce propos, au ralenti. Et nombreux regrettent cette clientèle algérienne « épicurienne » et qui « consomme beaucoup ». Mais qui surtout anime les lieux avec son brouhaha bien agréable des soirées d’été. Les Algériens ne sont pas du reste autorisés à quitter leur pays.
« De plus, si c’est pour vivre dans la crainte d’attraper la maladie avec un masque constamment sur le visage », tonne un citoyen algérien, qui vit en Tunisie, et qui a pris le pli de recevoir chaque été son frère et ses neveux pour quelques jours de vacances.
Les réseaux sociaux regorgent de messages où leurs auteurs regrettent de n’avoir pu quitter le territoire français pour se rendre chez eux en Algérie. L’un d’entre eux est touchant : celui d’une étudiante qui dit avoir acheté son billet en février 2020 en épargnant au maximum pour rejoindre les siens à Tizi Ouzou, en Kabylie.
« Le Maroc n’est pas L’aLLeMagne »
Côté masques, le Maroc n’est pas en reste. Non seulement il est obligatoire, mais le refus de le porter expose toute personne à une amende entre 300 et 1300 dirhams (entre 88 dinars et 380 dinars).
Il faut dire que la question concerne la santé publique et les amendes ont été introduites suite à un réel relâchement observé un peu partout au Maghreb, de Nouakchott à Tripoli.
« Masque obligatoire ? Le Maroc n’est pas l’Allemagne ». Ainsi titrait, fin juillet 2020, notre confrère marocain « L’Observateur du Maroc et de l’Afrique » pour appuyer la décision du port obligatoire du masque face précisément au relâchement constaté et face à une certaine contestation de son port à l’image de l’Allemagne.
L’auteur du texte affirmant ceci : « Chez nous, on n’explique rien. On ne conseille rien. Le masque est obligatoire, même si vous êtes seul dans un champ de maïs ou dans votre voiture aux vitres fermées. Et on n’y peut rien Monsieur. N’y pensez même pas ! »
Fin juillet 2020, une grande indignation a vu le jour, au Royaume chérifien, à l’occasion de la révélation d’un mariage clandestin. Au cours duquel les mesures de prévention édictées par les autorités n’ont pas été respectées. « Allez corona, allez corona », chantaient, en toute inconscience, les invités à ce mariage dont la vidéo a largement circulé sur Instagram n
A Nouakchott, et notamment dans le cercle du pouvoir, on s’interroge sur l’issue des propositions de la Commission parlementaire créée pour enquêter sur la gestion de l’ancien président Mohamed Ould Abdelaziz (2008-2019.
Trois grandes décisions ont été annoncées, le 29 juillet 2020, à Tétouan (Nord du Maroc), par le souverain marocain, à l’occasion de la célébration du 21 ème anniversaire de son accession au trône :
- La création d’un fonds d’investissement stratégique d’un montant de 120 milliards de dirhams marocains (environ 35 milliards de dinars) pour relancer l’économie marocaine suite à la récession due au coronavirus (on estime la contraction à -5% en 2020). La somme annoncée équivaut à 11% du PIB marocain.
les dysfonctionnements, assurer une complémentarité entre les missions et rehausser les efficiences.
- Généraliser la couverture sociale pour tous les Marocains. La réalisation du projet débute en janvier 2021 et devra comprendre les retraites et la perte d’emplois. Annoncées au cours d’un discours très attendu du Roi Mohamed VI, les mesures apportent de nouvelles avancées n