QNB participe à la ème édition du Salon international des technologies de l’information et de la communication SITIC Africa 2022
QNB, la plus grande institution financière au Moyen-Orient et en Afrique (MEA) a participé s'est tenu à la 6ème édition du Salon international des technologies de l’information et de la communication dédié à l’Afrique (SITIC Africa 2022), qui se tient à Abidjan en Côte d’Ivoire du 30 mai au 1er juin 2022, sous l’égide des ministères de l’Economie ivoirien et tunisien.
QNB participe en sa qualité d’acteur clé et majeur du marché numérique et de leader des paiements technologiques et fournisseurs des dernières solutions de paiement numérique innovantes répondant aux normes de sécurité internationales les plus élevées afin de procurer aux utilisateurs une expérience de paiement unique.
La participation de QNB est renforcée par la présence d’une équipe d’experts en Corporate Banking sur le stand n°1 durant les 3 jours du Salon pour apporter le conseil et l’accompagnement aux entreprises et aux hommes d’affaires présents. L’équipe QNB participe également aux ateliers B2B, consolidant ainsi sa participation avec des rendezvous d’affaires ciblés et efficaces. Tunisie Afrique Export organise, avec la contribution d’entreprises tunisiennes, ce salon numérique africain et mondial pour rapprocher le secteur du numérique des autres secteurs de l’économie : Fin Tech, E-Santé, industrie 4.0. Cette 6ème édition représente une opportunité pour les entreprises ivoiriennes, tunisiennes et françaises pour créer un cadre judicieux à une coopération triangulaire avec les pays occidentaux.
SITIC Africa accueille également la 6ème édition du Forum international sur les instruments financiers numériques, organisé par le Conseil bancaire et financier (CBF).
Cette édition permet de continuer à faire l’état des lieux de la transformation numérique et à formuler des recommandations précises pour la réussite de la transformation digitale en Tunisie.
QNB est présente dans 13 gouvernorats et dispose d’un réseau de 34 agences, dont deux agences QNB First, de 3 centres d’affaires pour les entreprises, situés à Tunis et à Sousse et de 4 bureaux de change (trois à l’aéroport Tunis-Carthage et le quatrième à l’aéroport de Djerba) n
Le ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Energie a donné son accord pour la réalisation de 10 projets de production d’électricité à partir des énergies renouvelables à des fins d’autoconsommation, raccordés sur le réseau moyenne tension, en vertu d’un arrêté de la ministre de l’Industrie du 29 décembre 2021, publié au Journal officiel de la République tunisienne ( Jort) du 28 janvier 2022.
Il s’agit de 9 projets de production d’électricité à partir de l’énergie solaire photovoltaïque, sans transport de l’électricité produite, et d’un projet avec transport de l’électricité produite. Les neuf premiers projets sont portés par les entreprises « SOCEM-palma », « Maison l’oasis », « Maghrebia Technologie et Travaux », « Société Emballage Tubulaire » (2 projets), « SIEM », « Huilerie Oum el Jenna », « Beta Confection » et le Groupement de développement agricole Oued Cherka. Quant à l’accord pour la réalisation du projet de production d’électricité à partir de l’énergie solaire photovoltaïque, avec transport de l’électricité produite, il a été octroyé à la société « Carrelage du Cap Bon ».
D’après l’arrêté de la ministre, le précédent accord octroyé à la société « Beta Confection » pour la réalisation d’un projet de production d’électricité à partir de l’énergie solaire photovoltaïque sans transport de l’électricité produite, figurant dans l’article 1 de l’arrêté du ministre de l’Industrie, de l’Energie et des Mines par intérim du 17 mars 2021, est annulé.
Il a par ailleurs été rappelé que le plafond de vente des excédents d’électricité produite à partir des énergies renouvelables à des fins d’autoconsommation est fixé à 30%. Au cas où le taux de l’excédent dépasse cette limite, la Steg procède à la facturation des quantités excédentaires durant l’année suivante. Il importe de noter que l’autoconsommation est un axe majeur de la politique nationale de transition énergétique qui vise la diversification du mix énergétique. L’autoproduction de l’électricité demeure possible pour toute collectivité locale et établissement public ou privé, raccordés au réseau électrique national en moyenne ou haute tension (MT-HT). Elle concerne les établissements actifs dans les secteurs de l’industrie, de l’agriculture ou du tertiaire. Le programme d’autoproduction permet de recourir à deux types de projets, à savoir les projets sur site, sans transport d’électricité sur le réseau, et les projets sur site déporté, avec transport d’électricité sur le réseau.
Les projets sans transport de l’électricité produite permettent à l’autoconsommateur d’installer son unité de production d’électricité directement sur les lieux de son activité. Il s’agit d’un circuit fermé puisque l’électricité produite sera consommée sur place, sans passer par le réseau national. Néanmoins, l’excédent de production est injecté sur le réseau.
L’énergie électrique cédée par l’autoproducteur à la Steg au titre d’excédent de production de l’installation renouvelable est comptabilisée puis facturée mensuellement.
Les projets avec transport de l’électricité produite permettent à l’autoconsommateur d’installer son unité de production sur un site qui n’est pas celui de son activité.L’acheminement de l’électricité du point de production jusqu’au point de consommation de l’auto-consommateur doit impérativement passer par le réseau national de la Steg. Les excédents de production sont directement injectés sur le réseau n
Une politique d’intégration des composants des équipements d’électricité produite à partir de l’énergie solaire permettrait à la Tunisie de réaliser un chiffre d’affaires à l’exportation de 370 millions d’euros à l’horizon 2023, selon une étude intitulée « Etat des lieux et perspectives de développement de l’industrie des composants de l’énergie solaire électrique en Tunisie », rendue publique jeudi 26 mai 2022 à Tunis. Pour ce qui est du marché local, l’intégration de ces équipements permettrait à la Tunisie d’atteindre un chiffre d’affaires de près de 70 millions d’euros, révèle cette étude, pilotée par le Centre technique des industries mécaniques et électriques (Cetime) et menée par les bureaux d’études « Acc Tunisie » et « BSW » (German Solar Association) entre 2019 et 2020.
Le développement de l’industrie des composants électriques solaires pourrait contribuer à la création de plus de 17 000 emplois, dont 9 000 pour le marché à l’export, révèle la même source.
Les résultats de cette étude ont été présentés par Ali Chelbi, directeur d’« Acc Tunisie » n
Les incendies de 2021 n’ont pas laissé de bons souvenirs. L’Algérie et le Maroc ont de ce fait mobilisé divers moyens pour venir à bout des incendies de forêts.
Plus jamais ça. Pour l’Algérie, le mois de mai 2022 a été mis à profit pour éviter la catastrophe survenue en 2021. Les statistiques officielles nous disent que 100 000 ha de couvert végétal (arbres, buissons, broussailles…) ont brûlé. Les foyers d’incendies ont été au nombre de 1631. Pour cela, l’Algérie a mis en place un programme d’action et même une stratégie qui a pris des formes multiples : prévention, action, formation et communication. Divers moyens ont été mobilisés pour venir à bout des incendies qui ont tenu en haleine l’été dernier une grande partie de l’opinion publique. Ainsi, l’appareil opérationnel comprend « 401 tours de contrôle, 513 divisions mobiles, 63 camions citernes d’approvisionnement en eau et 3261 points d’eau, … », nous apprennent les médias algériens sur la base d’informations fournies par la direction générale des forêts (GDF).
Parallèlement à cela, de nombreuses initiatives ont été prises, comme l’ouverture de plusieurs pistes forestières qui « contribueront à assurer le succès des interventions d’extinction des incendies ».
Côté formation, des habitants ont notamment été formés pour qu’ils puissent donner l’alerte et lancer la première intervention en cas de feu de forêt. Et dans le même ordre d’idées, une communication de proximité a été engagée pour que les citoyens sachent préserver les richesses forestières. Des incendies sont le fait des barbecues. La société civile a été, dans ce cadre, largement mise à contribution.
Des drones
Et cerise sur le gâteau, les autorités ont procédé à la location de Canadair et des négociations ont été entamées en vue de commander des avions russes, des Beriev Be-200, des bimoteurs d’une capacité de 13 000 litres.
Même engagement en ce début d’été au Maroc pour lutter contre les incendies de forêts, le climat pouvant les favoriser : chaleur, sècheresse et vents. De grands moyens sont mobilisés, dont des drones qui peuvent photographier les foyers d’incendies au moment même où ils se déclenchent. Sans oublier les autres moyens jugés plus classiques. Tours de contrôle, camions citernes d’approvisionnement en eau et points d’eau, ouverture de pistes forestières…, le Maroc est engagé totalement contre les incendies qui font perdre des richesses : chênes-lièges, pins d’Alep, chênes verts et arbres fruitiers. Lorsqu’il ne s’agit pas de récoltes.
D’autre part, un effort a été fait pour le reboisement, aussi bien en Algérie qu’au Maroc, des zones qui ont été touchées les années précédentes par les incendies de forêts n