Le Temps (Tunisia)

Une femme torture à mort son époux après l’avoir drogué

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Une femme avait drogué son ex-mari à son domicile de Montpellie­r, dans l’hérault, en lui faisant avaler à son insu de l’insuline et du Xanax. Une fois ce dernier endormi, elle avait fabriqué un chalumeau artisanal avec une bombe aérosol et un briquet, avant de lui brûler les parties génitales.

La victime, âgée de 43 ans, est décédée vendredi à l’hôpital des suites de ses blessures.

Placée en garde à vue, son exépouse a expliqué qu’elle n’avait pas voulu le tuer mais se venger de violences conjugales qu’elle aurait subies pendant leur mariage. Le couple était séparé mais vivait toujours ensemble. Elle a été mise en examen pour assassinat et acte de torture et de barbarie, puis placée en détention provisoire

Un cousin, qui a assisté à la scène, est poursuivi pour non assistance à personne en danger et non dénonciati­on de crime. la conductric­e incarcérée, suite à une conduite en état d’ivresse

Déjà mise en cause pour un accident avec alcoolémie en 2014, la conductric­e ivre dont le 4X4 a percuté une voiture samedi soir à Grand-fond, blessant grièvement deux enfants, a été mise en examen hier et placée en détention provisoire. « Je suis désolée pour cette famille. Je cherche comment les aider à réparer le mal fait. » Devant le juge des libertés, la conductric­e à l’origine de l’accident ayant fait deux blessés graves samedi soir à Saint-gilles a tenté de montrer une certaine compassion pour la famille traumatisé­e qui se trouvait dans la Renault Mégane qu’elle a percutée avec son 4X4 Hyundaï Tucson. Mais cela n’a pas suffi à lui éviter un placement en détention provisoire. Mise en examen pour blessures involontai­res avec interrupti­on de travail supérieure à trois mois et conduite sous l’empire d’un état alcoolique, Catherine Lefébure, 45 ans, a vu sa détention justifiée par « le risque de réitératio­n des faits », ayant déjà été mise en cause pour un accident avec alcoolémie en 2014. Des faits sanctionné­s à l’époque par une ordonnance pénale délictuell­e et qui lui valent aujourd’hui d’être poursuivie en tant que récidivist­e.

« Ce n’est pas une délinquant­e de la route, a pourtant tenté de démontrer son avocate, Me Judith Baumont. Elle a conduit de nombreuses années sans commettre d’infraction­s et ne consomme pas d’alcool de manière régulière. »

Ce soir-là, pourtant, c’est avec près de 2,40 g d’alcool dans le sang qu’elle prend le volant de son 4X4 pour répondre à l’appel d’un ami et se dirige vers le Sud.

À hauteur du Quick de Pierrefond­s, elle perd le contrôle de son véhicule et percute de plein fouet la Renault Mégane qui arrive en face. À son bord, un couple et leurs deux enfants.

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