Quatre remaniements touchant les trois compartiments

Pour le Clasico

• Moncer : «Je suis impatient de montrer ce que j'ai dans les jambes»

Après avoir tourné la page de la coupe arabe des champions, le CSS a repris, mardi dernier, à huis clos les entraînements sur le terrain annexe du stade Mhiri. Les joueurs qui ont été mis face à leur responsabilité par le président « Noir et Blanc » savent désormais à quoi s'en tenir quand ils affronteront, après demain, l'espérance Sportive de Tunis dans un match qui constitue la grande affiche de la 4ème journée du championnat de la Ligue1. En effet, pour les joueurs sfaxiens et leur entraîneur, la victoire est essentielle pour espérer se racheter, un tant soit peu, auprès de leur public à la suite de leur déconvenue dans une compétition qui constituait l'un des objectifs majeurs de la saison pour le club sudiste.

Première de Hamza Jlassi

La composition de la formation sfaxienne qui sera alignée dimanche contre L’EST sera, à trois ou quatre éléments près, différente de celle qui fut alignée contre le Naft Irak. Le premier remaniement se situe au niveau de la cage où Mohamed Hédi Galloul, complètement remis d'une blessure, est annoncé rentrant. Tout comme Hamza Jlassi qui serait, en toute probablité, titularisé au milieu du terrain à la place de Chris Kouakou qui n'a pas totalement convaincu, une semaine plus tôt, contre le Naft Irak.

Moncer et Marzouki, d'emblée Autre changement attendu, toujours au milieu du terrain où Mohamed Ali Moncer est annoncé rentrant contre son ex club. Un Moncer, piaffant d'impatience pour « montrer à son ancienne équipe qui l'a mis sur la liste des départs ce qu’il a encore dans les jambes ». En effet, dans une déclaration qu’il venait d’accorder à la presse locale, Moncer a exprimé toute sa « détermination à sortir un grand match et prouver ainsi à ses détracteurs ce qu'il vaut réellement sur un terrain ». Enfin le quatrième et dernier remaniement prévu concernera l’attaque où Marzouki devrait suppléer, en principe, Chaouat, auteur de plusieurs ratages devant les bois irakiens.