Le CSS crie à l'injustice !
Privé de deux penalties , toujours contre le même ST et toujours par le même arbitre , Nasrallah Jaouadi
Depuis le début de la saison l'on peut dire que dans l'ensemble, le Club Sfaxien n'a pas eu à se plaindre de l’arbitrage sauf que la désignation de l'arbitre Nasrallah Jaouadi, le même qui a été chargé de diriger la saison écoulée la rencontre ayant opposé le CSS au ST sur la pelouse du stade Hédi Neifar du Bardo est un prélude à de futures malversations de l'arbitrage à l'égard de leur équipe. Nasrallah Jaouadi a en effet tout fait ce jour là pour que le CSS ne gagne pas au Bardo. Sifflant pratiquement à sens unique, il s'est retenu d'accorder plusieurs coups francs à la formation sfaxienne, la privant notamment d'un penalty indiscutable, consécutive à une intervention irrégulière d'un défenseur stadiste sur Hanachi. C’en est pas fini puisque dans la foulée de la désignation de Jaoudi pour la deuxième année consécutive (simple coïncidence me diriez-vous ?). Survint ensuite l’affaire des 700 billets initialement accordés et puis refusés, la veille du match, aux supporters sfaxiens avant que les autorités sécuritaires ne se ravisent à la suite des interventions des autorités régionales.
Toujours est-il qu’après la piètre prestation de Nasrallah Jaouadi qui a omis, cette fois de siffler deux penalties réguliers au CSS devant sanctionner une main d'un défenseur stadiste sur un tir au but de Chaouat e une intervention irrégulière de la défense stadiste sur le même Chaouat, les appréhensions des « Noir et Blanc » vis-à-vis de l'arbitrage ne peuvent pas être infondées. D'où l'intervention, une sorte de cri d’alarme du président du club Moncef Khemakhem à l'émission «Dimanche Sport » qui a appelé le président de la FTF a plus d'équité et de traiter tous les clubs sur un pied d'égalité «Nous ne vous demandons pas de nous accorder votre soutien comme vous l’avez fait avec d’autres clubs, soutien que nous avons du reste applaudi à sa juste valeur mais tout simplement de nous donner notre dû et de nous protéger de votre système. Ni plus ni moins ! ».