Quelle alternative en cas d'un probable retrait de Moncef Khemakhem?
Le CSS a décidé de reporter son assembmée générale élective qui était prévue initialement pour la deuxième quinzaine du mois de juillet courant l'assemblée générale élective. L'impossibilité d'établir le rapport financier à cette date est derrière ce report.
Mais au delà du décalage du congrès du club "Noir et Balnc" trrès probablement pour la fin de la saison, le public est, pour le m^ment dans l'expectative concernant le nom du prochain président.
Khemakhem et l'ingratitude de pseudos- supporters
A la tête du club durant deux mandats consécutifs (4 années) au cours desquelles il a consenti énormément de sacrifices financiers , en contribuant, croyant-nous savoir, à hauteur de 12 millions de dinars aux dépenses du club, Moncef Khemakhem n'a pas encore fait savoir s'il compte briguer ou non un nouveau mandat.l'homme qui a dû faire face, pratiquement seul, à la crise financière du club a été accablé, tout comme ses prédécesseurs d'ailleurs, par des critiques acerbes exprimées souvent en termes déplacés, voire orduriers, n'est pas enthousismé pour poursuivre. Avec tout ce qu'il a enduré il n'est pas en effet sûr que l'homme se décide à pousuivre son ambitieux programme dont l'objectif est de mettre sur pied une équipe fortement compétitive, composée essentiellemnt du cru du club.
Ce programe qui permettrait donc au CSS de puiser principalement dans son terroire (formation des jeunes) sans recourir systèmatiquement au recrutement commence à donnéer ses fruits avec l'éclosion d'une pléiade de jeunes au talent indéniable parmi lesquels on pourrait citer, entre autres les Alaeddine Ghram, Hamdi Sellami Achraf Habassi, Bechir Ghariani, Oussama Bahriet autre Azmi Ghouma.
La bonne volonté de Sellami ne lui suffira pas pour un éventuel retour à la tête du club
Au cas où Moncef Khemakhem choisirait de remettre comme on dit le tablier, le public sfaxien ne voit pas, pour le moment du moins, une autre personnalité en mesure de prendre le relai. Moncef Sellami présenté par une partie du public comme étant l'alternative indiquée ne nous semble pas en mesure d'assumer une responsabilité pareille aussi lourdes et aussi obligeante à cause d'abord de l'âge de l'homme (plus de 80 ans) et, ensuite, du fait qu'il réside à Tunis, le centre de ses affaires.