Ciao pantins !

A quand le prochain round ? Ça commence à devenir intéressant. Comme de suivre l’élan d’une mouche, qui se brise net sur la vitre fermée. Elle n’avait pas bien calculée son envol. Manque de pot pour elle, de surcroît : la vitre était blindée. Dommage pour ceux qui n’ont pas encore compris que le jeu était fini. Et qui se sont mis en situation d’essuyer une déroute, qui ne dit pas son nom mais l’affirme haut et fort. Ils auraient pu s’épargner la peine d’essuyer un refus cinglant, de la part de la « Maréchaussée » qui ne plaisante pas avec le règlement. Et refuse de s’en laisser conter vu qu’elle applique les consignes. El les consignes, on ne plaisante pas avec lorsque l’on est en faction pour défendre un accès, dont il est interdit de franchir le seuil. Par effraction qui plus est ! Remarquez, si ces messieursdames veulent tenter leur chance en essayant d’infléchir les rangs « adverses », ils peuvent toujours se munir d’un « bouc » la prochaine fois. Cela serait de nature, peut-être, de renforcer leur position. Si ça leur chante. Il est vrai qu’ils doivent, d’abord, attendre les ordres du « Cheikh». Vu qu’ils ont parié sur le cheval perdant, ce serait, comme qui dirait, une très mauvaise idée ! Une idée saugrenue et plutôt contre-productive parce qu’elle n’a pu aboutir à ce qu’ils escomptaient. A savoir, intimider le camp d’en face, qui pourrait par exemple jeter les gants. Et leur ouvrir, grandes, les portes du palais. C’est bien tenté mais ça n’a rimé à rien. Que dalle ! Ils ont dû, la mine basse, se replier sur leurs quartiers. En attendant Godo qui ne viendra pas. Les dès sont jetés…