Notre pays en sortira gagnant…
Lorsque l'hydre islamiste se sent acculée dans ses derniers retranchements, elle dresse la tête. Comme une vipère qui s'apprête à attaquer. Dans une ultime tentative de renverser la vapeur. Et de reprendre la « main ». En donnant son va-tout, dans la pleine conscience qu'elle est en train de jouer sa dernière manche. Et que ses chances de l'emporter sont aujourd'hui, quasi inexistantes. Elle sait qu'elle est débusquée. Et elle sait que ses heures et ses jours sont comptés. Alors elle sort son « venin » et assure sa détente. Après avoir passé la consigne, à ses «loups» qui ne sont pas solitaires, tout comme aux autres, de frapper en même temps, et plusieurs « cibles » à la fois, pour disperser les troupes et affaiblir le front de défense, pour permettre l'infiltration de renforts, tapis à l'extérieur du pays. Et qui attendent le signal et l'heure. Pour frapper un grand coup. De la nature de ceux dont un pays ne peut pas se relever.
Que faut-il faire alors, pour y parer ?
Comme avec une vipère : frapper net, la tête. Et ne pas la rater…
Notre armée, nos sécuritaires, ne dorment jamais que d'un seul oeil. Et ils sont là où on les attend. Mais aussi là, où on les attend le moins, pour parer à tous les dangers.et protéger le pays.
Ils ont paré.
A une attaque au sein de l'avenue de la Liberté qui devait être suivie d'autres actes terroristes similaires, dans la capitale. Et à une tentative d'assassinat du président de la République, Kaïs Saïed, déjouée dans les temps, sachant que , et selon le ministère de l'intérieur, qui a estimé que c'était de son devoir d'en informer l'opinion publique, de graves menaces continuent de peser, qui visent la présidence de la République, ainsi que la sûreté du Territoire. En ce sens, il convient de faire montre, à toutes les échelles, d'une grande vigilance, pour remporter ce dernier combat contre les forces du mal qui ont gangrené le pays. Et qui cherchent aujourd'hui, coûte que coûte, à faire tomber le Président. Pire : à l'éliminer physiquement. Purement et simplement.
Avec l'arrestation de l'ex-chef du gouvernement Nahdhaoui, Hamadi Jebali, dans l'affaire de l'association « Naâma », et sur de fortes suspicion de blanchiment d'argent, et de transfert, ainsi que d'enrichissement illicite, en accointance avec, au moins, un pays étranger, l'étau se resserre autour des ennemis de la démocratie et de la République, qui ont tant rêvé à leur État islamique, et à l'instauration de sa « succursale » en Tunisie, qu'ils en sont venus à oublier, qu'un pays, au moins dix fois millénaire, c'est à dire depuis la civilisation Capsienne, et qui a enfanté Bourguiba, saura toujours être maître de son destin. Et triompher de ses ennemis. Jusqu'au dernier des « charognards ».