«C’est un beau tremplin»
Au moment de mettre sous presse, celui qu’on a découvert lors de la quatrième édition de était toujours dans la course. Il nous parle de son expérience en sol européen.
La Voix
Ryan, qu’est-ce qui t’a amené à participer à The Voice, en France?
Au départ, je ne voulais pas le faire, car je me disais que j’avais donné ce que j’avais à donner avec La Voix. Puis, après en avoir discuté avec mon équipe, j’ai réalisé que c’était une belle occasion de laisser une carte de visite en France.
T’attendais-tu à ce qu’un des coachs se retourne?
Non, car je n’avais pas voulu me créer d’attente. Je ne savais pas si mon style allait plaire là-bas alors, quand j’ai vu les fauteuils se retourner, j’ai été très content. Par contre, je ne savais pas trop avec qui j’avais envie de travailler. J’ai finalement opté pour Zazie, même si je ne connaissais rien de son oeuvre, car c’est elle qui a eu le meilleur pitch de vente.
Y a-t-il beaucoup de différences entre La Voix et The Voice?
Non; les deux émissions se ressemblent beaucoup. En France, cependant, j’ai eu à travailler fort sur ma prononciation en chantant. Autrement, c’est un tout aussi beau tremplin! Ça me permet de me faire connaître d’un nouveau public et c’est excitant.
Pourquoi as-tu choisi de chanter la pièce Rocket Man, d’Elton John?
Cette chanson est représentative pour moi. Elle me rappelle la vie de tournée. J’aime chanter cette pièce; elle est un porte-bonheur.
Il y a quelques mois, tu as présenté l’album Love Is Gold. Parle-nous de ce disque...
« J ’ai réalisé que c’était une belle occasion de laisser une carte de visite en France.»
C’est un album dont je suis très fier. J’ai composé et écrit plusieurs des titres, et j’ai aussi travaillé avec Tire le coyote. Ç’a vraiment été une belle rencontre. Je suis content de ce disque et j’ai déjà hâte de présenter le prochain, qui sera un peu différent.