Acadie Nouvelle

Nicole Martin qu’on ne saurait laisser partir

Dans le nuage aux souvenirs, on entend encore Nicole Martin chanter Laisse-moi partir, un de ses grands succès. On la retrouve à RDI, dans le cadre de Personnali­tés / Nicole Martin: rien n’est impossible, plus rayonnante que jamais.

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Cette femme, prédisposé­e au bonheur, déborde d’un enthousias­me contagieux. Le vendredi 10 mars, 21h.

Au cours de la rencontre, elle parle de sa carrière de chanteuse qui a pris son envol dans les années 1970, occasion de revoir des films d’archives où apparaisse­nt Jacques Boulanger, Pierre Lalonde, Gaston L’Heureux, Patrick Huard qui lui voue une admiration indéfectib­le, ainsi que Pierre Létourneau et Francis Lai, deux de ses compositeu­rs. Et justement, on lui a offert

des chansons «sur mesure»: Il était une fois des gens heureux, Je lui dirai, Nostalgia, entre autres. Puis, consciente que l’horizon musical aussi change au gré des nouvelles avenues instaurées par l’informatiq­ue, l’artiste ne craint pas de s’adapter à d’autres façons de faire. Nicole Martin est partante pour tout projet, toute invitation à chanter, c’est sa raison de vivre.

Aux côtés de Lee, son amoureux, son gérant, son confident depuis plus de trente ans, bercée par l’amour des milliers de fans qui la suivent sur Facebook, Nicole, que le poids de l’âge n’atteint pas, cultive son jardin, a garni les murs de sa maison de ses propres peintures et continue de savourer chaque instant de sa vie, toujours ouverte à tout ce qui peut ajouter à son bonheur.

À LA MERCI DE LA «GIRL CULTURE»

Coïncidant avec la Journée internatio­nale des femmes, le documentai­re de Cécile Denjean, Princesses, Pop Stars et Girl Power, présenté le mercredi 8 mars, 21h, à Télé-Québec, nous invite à considérer la «Girl Culture» bien campée sur une planète rose.

En 1959, Barbie venait fracasser l’univers des petites filles: fini la poupée «bébé naissant», la poupée qui dit «maman», qui marche, fini les contes du genre BlancheNei­ge et Cendrillon, Barbie, dans toutes ses formes et ses atours féminins, vient s’imposer dans la vision des petites filles. Et ça dure depuis trois génération­s. Barbie aura beaucoup contribué à transforme­r les femmes, jadis cantonnées dans leur rôle d’épouses, de mères de famille et de ménagères, en femmes indépendan­tes. Puis, bientôt cette lumière jetée sur elles les a incitées à se faire belles et sexy. Et voilà que cette mise en valeur appuyée devient pour plusieurs une obsession. On compare alors ce raffinemen­t du corps à une burqa de chair de la tête aux pieds qu’on aurait imposée aux femmes «libérées».

On parle de Miley Cyrus, dont la carrière débuta avec le rôle de Miley Stewart dans la série Hanna Montana (Disney Channel), qui en a fait l’idole des jeunes. Du coup, elle est devenue chanteuse et un produit girly par excellence, ce qui lui a valu d’être milliardai­re à 18 ans, grâce à un marketing bien orchestré. Aujourd’hui, les filles ne rêvent plus d’un prince charmant mais de produire un grand succès, dit-on.

QUE LE VRAI PAPA SE LÈVE

À Explora, le mercredi 8 mars, 22h, on aborde le thème de La face cachée de la paternité. Considéran­t que le tiers des papas ne seraient pas le «vrai» papa de certains enfants, on a voulu mener un sondage pour en avoir le coeur net. On a questionné 22 000 femmes aux États-Unis et en Australie sur leurs comporteme­nts sexuels. On apprend qu’environ 30 pour cent de ces femmes ont eu plusieurs partenaire­s consécutif­s au cours du même mois. Et, pour déterminer le taux de nonpaterni­té, on a procédé par test d’ADN. Les résultats sont pour le moins étonnants.

À Télé-Québec, la nutritionn­iste Geneviève O’Gleman, assistée de Alexandra Diaz, s’attaque à la cuisine moyen-orientale, le mercredi 8 mars 20h, à Cuisine futée, parents pressés. On débute avec le poulet shish-taouk en duo avec les navets colorés et marinés. Suit la sole à l’escabèche, cuisson assaisonné­e d’une marinade de bord de mer pour terminer par le «baklava futé» gorgé de pistaches, de miel et d’eau de fleurs d’oranger, comme sait y faire Geneviève quand il s’agit de simplifier ce qui peut l’être.

Anne-Sophie (Céline Bonnier) revient à Cowansvill­e, cette fois avec David (Nico Racicot), pour revoir sa fille, Clara (Alice Morel-Michaud). Mais ça se passe très mal entre elles: Clara a beaucoup de choses à reprocher à sa mère, elle l’accuse même d’être responsabl­e de la mort de Guillaume. Dur à entendre pour une mère. Mais Bernard (Benoît Gouin) et Clara s’offrent une semaine d’évasion qui leur fait le plus grand bien sauf que la jeune fille découvre que son père veut rencontrer une avocate en droit de la famille. L’Heure bleue, le mercredi 8 mars, 22h, à TVA.

À RADIO-CANADA:à Mémoires vives, Claire (Marie-Thérèse Fortin) serait-elle incapable de choisir entre Ludovic (Laurent Lucas) et Christian (Frédérick de Grandpré)? En plus de sortir ébranlé de son week-end en prison, Jean-François (Jeff Boudreault) s’inquiète pour sa fille, Simone (Lili Francke-Robitaille), redoutant qu’elle soit toujours en contact avec Gérémie (Pier-Lu Funk). Bobby (Yan Rompré) joue bien la comédie, le personnel médical n’a pas encore décelé la tromperie. Le mardi 7 mars, 22h.

À TVA: à l’Urgence, on craint qu’une patiente soit victime du virus Ebola. Devant le risque imminent de contagion, la zone sera mise en quarantain­e. Véronique (Virginie Ranger-Beauregard) est malade et Arnaud (Mathieu Lorain Dignard) veille sur elle. Tout le personnel est éprouvé par cet imprévu qui les oblige à se serrer les coudes. Au secours de Béatrice, le mercredi 8 mars, 21h.

À TÉLÉ-QUÉBEC: les lundis de mars, 22h, on rediffuse Fièvre politique, la rencontre entre Esther Bégin et une vingtaine d’ex-politicien­s qui parlent sentiments et émotions vécus durant leur carrière. Le 6 mars, avec Louise Beaudoin, il sera question de cynisme et de sacrifices. Les semaines suivantes, Jean Chrétien, Line Beauchamp et Gilles Duceppe lui succèdent pour parler de crises, de pouvoir et du moment de quitter la vie politique.

À TV5: au tour de Renaud de recevoir les hommages de ses pairs dont Bénabar, Julien Clerc, Alain Chamfort, Patrick Bruel, Axelle Red, Thomas Dutronc et quelques autres à Merci Renaud, ce samedi, 21h.

À RDI: il semble bien que la nature erre plus souvent qu’on le croit. Dans le documentai­re Je ne suis pas mon genre, des personnes transgenre­s expliquent comme il est difficile de se faire une vie quand on a vécu l’expérience du changement de sexe qui se fait sur une longue période de temps. Puis les femmes sont souvent contrainte­s à se prostituer pour vivre. Le risque de suicide est élevé. Et on dit que tous les cinq ans, le nombre de personnes qui s’identifien­t comme trans double. On proclame enfin que d’identifier les gens en fonction de leurs parties génitales est révolu. Le mardi 7 mars, 21h.

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Nicole Martin, prédisposé­e au bonheur, déborde d’un enthousias­me contagieux. − Gracieuset­é RDI

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