Bathurst apporte son appui à l’Hôpital de Saint-Quentin
L’Hôtel-Dieu Saint-Joseph de Saint-Quentin. – Archives
Le conseil municipal de Bathurst a détences de juger s’ils doivent ou pas avoir les cidé d’apporter son appui à la Chambre mêmes services. C’est bien émotionnel. de commerce de Saint-Quentin, laToutes les communautés veulent garder quelle appelle les communautés du leurs services. Cependant, je pense que la nord de la province à la soutenir dans décision doit venir de quelqu’un d’autre sa lutte pour maintenir les services pasque nous.» sés et présents offerts à l’Hôtel-Dieu Pour la conseillère Katherine Lanteigne, Saint-Joseph. c’est important d’appuyer la demande de la communauté de Saint-Quentin.
«Il faut prendre en considération que l’hôpital de Saint-Quentin est loin des grandes villes. C’est près d’une heure de Campbellton. Je suis prête à appuyer leur demande.»
Après avoir donné la parole à tous les conseillers, le maire de Bathurst a dit qu’une lettre d’appui sera envoyée à la Chambre de commerce de Saint-Quentin.
«La lettre ne mentionne pas spécifiquement les besoins en santé du fait que c’est difficile pour nous de se prononcer dans ce sens. Par contre, notre lettre appuiera la région de Saint-Quentin et tout le NordOuest.»
La directrice générale de la Chambre de commerce de Saint-Quentin, Jocelyne Poirier, dit que les lettres d’appui seront acheminées au Réseau de santé Vitalité, ainsi qu’au ministre de la Santé.
«On a eu toutes les lettres d’appui demandées. On ne demande rien d’autre que le maintien des services passés et présents offerts à l’Hôtel-Dieu Saint-Joseph de Saint-Quentin.» n
La lettre d’appui demandée par la Chambre de commerce de Saint-Quentin a longuement fait réagir les conseillers municipaux de Bathurst, lundi soir.
Le maire Paolo Fongemie a été le premier à s’exprimer au sujet de ladite lettre d’appui.
«Je pense qu’il y a des enjeux au niveau du système de santé dans le nord de la province. C’est plus une demande de solidarité que recherche la communauté de Saint-Quentin.»
Par contre, le conseiller Samuel Daigle a mentionné être peu enclin à signer cette demande d’appui.
«Je ne pense pas qu’on a les compé-