Edmundston: une occasion d’énergiser le monde de l’enseignement
Edmundston sera très bientôt l’hôte du congrès provincial de l’Association des enseignantes et des enseignants francophones du Nouveau-Brunswick (AEFNB).
L’association représente près de 3000 enseignants et enseignants suppléants oeuvrant dans les écoles publiques de la province. Le congrès se tiendra les 27 et 28 août à la Cité des jeunes A.-M.-Sormany.
Près de 600 participants sont attendus dans le cadre de l’événement, la plupart étant des enseignants francophones issus des quatre coins de la province. D’autres intervenants ayant un intérêt marqué envers l’éducation seront également du rendez-vous.
Sous le thème Le mieux-être: un gage de réussite, la programmation de deux jours du congrès de l’AEFNB comprend une cinquantaine d’ateliers et plusieurs conférences qui porteront sur des sujets aussi variés que le développement des compétences, l’inclusion scolaire, le mieux-être et la saine alimentation.
L’Association estime que ces ateliers contribueront de plus à l’atteinte d’un équilibre personnel et professionnel et à l’acquisition d’apprentissages professionnels significatifs.
Le congrès de l’AEFNB prévu la semaine prochaine risque de revêtir un cachet particulier à certains égards.
L’association profitera entre autres de l’occasion pour procéder mardi matin au lancement officiel de son 50e anniversaire de fondation.
L’événement marquera également les débuts du mandat à la présidence de l’AEFNB de Gérald Arseneault.
Celui qui est originaire de Kedgwick et qui occupait les postes de directeur adjoint et d’enseignant d’éducation physique à l’École des Pionniers de Quispamsis a entamé son mandat à la présidence de l’association le 1er août.
Il s’agira pour ce dernier d’un premier événement majeur de l’AEFNB auquel il prendra part avec ses membres depuis qu’il a officiellement succédé à Lucie Martin à titre de président.
«Ça va donner l’occasion d’énergiser le monde de l’enseignement, de redonner ses lettres de noblesse à la profession qui mérite d’être encore plus reconnue à sa juste valeur», a expliqué Gérald Arseneault à quelques jours de l’ouverture du congrès.
Il va sans dire que la présence la semaine prochaine de plusieurs centaines d’enseignants dans les rues d’Edmundston risque de ne pas passer inaperçu. ■