J’AI VU POUR VOUS
I Am Not Okay With This (Netflix) - Ah, la fameuse histoire du jeune qui tente de comprendre ses super pouvoirs qui se veut en fait une métaphore sur les changements qui s’opèrent dans le corps et l’esprit des adolescents. On l’a vue et revue au cinéma, dans la littérature et à la télévision, notamment dans Carrie, Heroes et la franchise X-Men. I Am
Not Okay With This est une variation (pas très originale...) sur le même thème alors qu’on suit Sydney (Sophia Lillis) une adolescente pas très populaire qui peine à faire son deuil du suicide de son père. Sydney découvrira que la colère qui l’habite lui permet de manipuler des objets à distance. Signe que les créateurs Jonathan Entwistle et Christy Hall savent que leur matériel de base n’a rien d’original, la première scène de la série est tirée tout droit de Carrie. Par la suite, on tombe dans le très commun. Le jeu de Lillis et de Wyatt Oleff parvient à sauver la série. Les deux jeunes, qui ont fait équipe dans It il y a quelques années, reprennent leur rôle de marginaux au grand coeur avec un brio rafraîchissant. On écoute parce que la série est plutôt sympathique, à défaut d’être réellement percutante ou originale. (2,5/5)
Star le Cartoon Wars: Network The Clone (et Wars plus tard - Saison sur Netflix) 7 (Disney+) de 2008 - Diffusées à 2013, les sur six constamment premières saisons laissé sur de mon cette appétit. série d’animation On y raconte m’ont les événements deuxième et troisième de la Guerre épisodes des clones, de la qui saga s’est cinématographique déroulée entre les
Star classiques Wars. Au de cours la franchise des années, ont fait plusieurs de courtes personnages apparitions (comme R2-D2, C3PO, Boba Fett et la princesse Leia), mais généralement, on y voit Anakin Skywalker (photo) ou Obi-Wan Kenobi à la tête d’un régiment de clones qui tentent de repousser les assauts de m’attends l’armée séparatiste. à de grandes Chaque révélations fois que ou j’écoute à des événements un épisode, je qui vont me faire voir les films d’un oeil différent. Et chaque fois, je suis déçu. La septième (et dernière) saison, présentée sur Disney+ depuis un mois et demi, est exactement dans le même moule. On y retrouve Anakin, Mace Windu, Ahsoka Tano ainsi que les commandants Rex et Cody, mais tout ce qui nous est raconté a des airs de remplissage. Les événements ont autant d’impact sur l’univers Star Wars que les histoires que s’invente un enfant qui joue avec ses figurines à l’effigie des grands héros de la saga. Une série extrêmement frustrante donc (notamment en raison de la piètre qualité du travail des comédiens qui prêtent leurs voix aux personnages), qui pourraient plaire aux mordus invétérés de la saga. Autrement, on parle d’un divertissement de qualité très moyenne, sans plus. (2/5)
Agatha Christie’s The Pale Horse Murder on the Orient Express ans minisérie avoir et écouté de m’avait le rendre le premier prouvé excitant. épisode, qu’il adaptée La est même possible il m’a d’un - (Amazon chose fallu autre de toute dépoussiérer ne roman Prime) peut ma volonté classique - malheureusement En 2017, un pour classique d’Agatha le visionner film littéraire Christie. pas le être deuxième vieux Après dite de de et la 85 The Pale Horse, (The Man in the High Castle) dernier Mark Easterbrook, tellement je un m’étais antiquaire ennuyé. qui Rufus soupçonne Sewell qu’il est sous le coup d’une malédiction interprète imposée par trois sinistres sorcières. Les gens meurent autour d’Easterbrook et il pourrait bien être la prochaine victime. Des forces surnaturelles sont-elles vraiment à l’oeuvre? Série britannique d’époque, The Pale Horse semble vouloir profiter de la popularité de
Downtown Abbey. Malheureusement, son personnage principal est difficile à aimer, son intrigue est assez prévisible et on reste indifférent aux enjeux. Deux heures qu’il vaudrait mieux investir ailleurs. (1,5/5)