Ce virus qui transforme la planète
Le plus petit organisme vivant, un virus unicellulaire, a réussi à mettre la planète à genoux. Les industries sont pratiquement à l’arrêt, les gens sont confinés dans leur demeure avec leurs enfants. Les systèmes de santé et d’éducation ont dû s’adapter à la situation. Les gens meurent par milliers...
Heureusement, il n’y a personne à blâmer, sinon ce serait la catastrophe. Ce petit virus affecte autant les mieux nantis que les plus démunis. Du jamais vu. Il y aura désormais l’avant et l’aprèsCOVID-19.
Lorsque la poussière sera retombée, nous aurons l’occasion de réfléchir sur ce que nous venons de vivre. Auronsnous des systèmes de santé et d’éducation plus efficients? Une distribution de la richesse plus juste? Une autre façon de collaborer, de se consulter, de s’aider, de se nourrir, d’utiliser nos ressources naturelles ou tout cela n’aura été qu’une situation passagère et retournera à nos anciennes habitudes?
Cette invitation à nous renouveler a permis à la planète de reprendre son souffle. L’air y est maintenant plus sain, les ressources naturelles moins exploitées, les familles plus unies, la richesse mieux répartie et notre santé plus appréciée. La planète entière s’éveille à cette nouvelle réalité.
Si nous n’avons pas compris ce qu’un petit virus biologique peut faire dans nos vies, imaginons, un instant, l’impact d’un virus informatique d’une même ampleur dans notre société. Espérons ne jamais en arriver là.
■