Du grand Rino
Marcel Arseneau Moncton
J’ai enfin trouvé le temps de lire attentivement la chronique de Rino Morin Rossignol dans l’Acadie Nouvelle du 28 octobre. Je dois me confesser. Je lis toujours ses chroniques. Et cette fois-ci, je l’ai lue à deux reprises.
La chronique de cette semaine passera certainement à l’histoire comme l’une de ses meilleures. Il n’y va pas avec le dos de cuillère pour décrire Donald Trump, et son prétendant au plus haut poste à la MaisonBlanche, Joe Biden.
M. Morin Rossignol écrit dans cette première partie de son texte: «Une victoire de Biden signalerait un retour à la normale. Pas dès la première semaine, évidemment, car il faudra du temps, des mois sans doute, et peut-être des années pour se remettre d’une présidence Trump qui a tenu la planète haletante, sur le qui-vive depuis quatre ans.» L’auteur de la chronique a trouvé les moyens de consacrer plus de la moitié de sa chronique au bon pape François. Il a sans aucun doute un espace réservé à ce pape qui répand la «Bonne Nouvelle» et qui fait face aux défis avec courage et simplicité. Une déclaration récente du pape François lui a plu énormément. Le pape aurait déclaré que les unions civiles entre les personnes de même sexe devraient être acceptées par l’Église. L’auteur prend bien soin de préciser que ces affirmations du pape n’ont pas encore une valeur dogmatique.
Rino Morin Rossignol nous a laissé une chronique qui porte à la réflexion. C’est écrit dans un style très riche et avec un vocabulaire qui nous vivifie. J’emprunte encore une fois ses mots pour terminer. L’Histoire nous attend.