«J’AI ÉTÉÉÉ LE MENTOR D’ALEX DEPUIS SES DÉBUTS»
Parce qu’il connaît bien Alex Nevsky, Yann Perreau a immédiatement accepté de le seconder comme mentor dans l’aventure de La
Voix. «J’y suis allé pour aider, apporter mon expertise et partager ce que j’ai acquis comme expérience. J’aimerais peut- être permettre aux participants de prendre des raccourcis par mon cheminement. La communication et la relation que j’ai avec Alex sont sincères; c’était naturel pour nous. Je pense que ça a mis les participants en confiance pour travailler avec nous.» Pour Yann Perreau, un bon chanteur doit d’abord et avant tout être dans le plaisir. «Il faut se mettre dans un état de plaisir et de bien- être. La voix, c’est l’être. Si on est bien, ça transparaît. S’il y a le moindrement un malaise ou un inconfort, la voix ne trompera pas, et ça va s’entendre.» Selon le mentor, les jeunes candidats ont tous leurs chances de réussir dans ce milieu. «De tout temps, les jeunes ont le défaut d’avoir moins d’expérience, mais ils ont la grande qualité d’avoir la fougue, l’énergie, la pureté et la naïveté qui donnent un certain charme. L’important n’est pas dans l’âge, c’est surtout une question de confiance, de bien- être, et la puissance que la personne a en elle.» SA RELATION AVEC ALEX NEVSKY
«Quand j’ai rencontré Alex pour la première fois à l’École nationale de la chanson, il était timide. Je voyais qu’il était passionné et qu’il avait soif de créer. C’est un pianiste super et un très bon mélodiste. Après cette rencontre, il m’a appelé pour me demander de l’aider à réaliser son premier disque. On s’est liés d’amitié parce que je crois qu’on vient du même monde. J’ai rencontré sa mère et son père quelques fois. Alex est très proche de sa famille, comme moi. Je me suis attaché au personnage. C’est un grand voyageur, assez bohème et assez rêveur. Il a quelque chose qui me ressemble.»