Échos vedettes

ENTREVUE HUMOUR

- FRANCIS BOLDUC

Elle poursuit avec de multiples exemples, comme ne pas se débarrasse­r de ses vieux médicament­s en les jetant dans la toilette ou encore ne pas jeter un mégot n’importe où. «Un mégot de cigarette qui se ramasse dans un cours d’eau, c’est de 500 à 1000 litres d’eau qui sont contaminés. Il faut juste être conscient de ce qui peut polluer l’eau et pourquoi. Ça peut faire une différence et, surtout, il n’y a pas de petits gestes. Je conseille aux gens d’aller sur le site Internet (pensezbleu.com) parce que c’est vraiment bien expliqué.»

GROS PLAN

Quand ça sera possible, Korine Côté reprendra la route avec la tournée de son deuxième spectacle, intitulé Gros plan. «Tout est en suspens, mais je sens que ça va revenir bientôt.» Et cette tournée est verte et s’inscrit dans le mouvement Artistes citoyens en tournée (ACT), qui a pour mission «de promouvoir les pratiques écorespons­ables dans le milieu des spectacles» peut-on lire sur le site Internet act-tour.org. «Il y a plusieurs volets en lien avec les tournées», précise Korine Côté. Elle donne en exemple que, pour un volet, il y a plusieurs exigences, comme utiliser de l’éclairage de scène DEL, qui consomme moins d’énergie que le convention­nel. «Le but est de faire plus attention.»

En attendant que sa tournée reprenne la route, l’humoriste fait de la radio. Elle a repris sa place au micro de l’émission estivale du retour à la maison (de 15 h à 18 h) à CKOI. «Je travaille avec Bryan Audet. Ça fait quatre ans qu’on travaille ensemble et, cette année, on est juste tous les deux. Ça va super bien, et on a beaucoup de plaisir ensemble.»

HENRI PROFITE DU CONFINEMEN­T

On termine en lui parlant du confinemen­t. Korine Côté raconte aussitôt que ça s’est bien passé, mais «comme tout le monde, ç’a été un choc au début parce qu’on s’est ramassé à la maison sans vraiment pouvoir sortir. Il y a eu un peu de peur dans tout ça, parce qu’il fallait faire attention aux gens qui nous entourent.»

Puis elle enchaîne à propos de son petit garçon, prénommé Henri: «Il a 17 mois, maintenant. J’ai tout vécu en même temps. Je suis donc très contente d’avoir été à la maison pour vivre plein de choses avec lui. Au début du confinemen­t, Henri n’avait pas de dents, ne marchait pas et ne parlait qu’un peu. Puis il a eu six dents et s’est mis à marcher. Ç’a été un trois mois vraiment le fun à vivre avec lui. Il a eu un beau développem­ent et il vient de recommence­r à aller à la garderie. Tous ont été bien surpris de voir comme il avait changé.»

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