DEUX ENTREPRISES SE DÉMARQUENT
Deux entreprises d’Argenteuil accèdent au volet régional de la 20e édition du Défi OSEntreprendre.
Miel’O’Max Inc. et Technologies LLE sont les deux lauréates locales qui ont été dévoilées, le mercredi 28 mars, par la MRC d’Argenteuil, en présence d’élus et d’acteurs du développement économique local. Elles représenteront Argenteuil au gala régional des Laurentides qui se tiendra le 25 avril à Mirabel. Le Défi OSEntreprendre vise notamment à faire rayonner les initiatives entrepreneuriales. Chacune des entreprises lauréates s’est vue remettre un chèque de 150 $ de la part de la MRC d’Argenteuil ainsi qu’une adhésion d’un an à la Chambre de commerce et d’industrie d’Argenteuil.
BIEN S’OCCUPER DES ABEILLES
Miel’O’Max, située à Mille-Isles, est l’entreprise de Maxime Circé. Outre la production de miel, il offre des services et de l’équipement apicoles pour garantir l’épanouissement des abeilles. Son entreprise s’est démarquée dans la catégorie Bioalimentaire.
Récemment formé en apiculture, M. Circé a indiqué que l’intérêt pour la culture des abeilles est en forte progression au Québec. Si cet engouement apparait comme une bonne nouvelle pour la survie des abeilles, M. Circé a tout de même émis quelques réserves. « Souvent, les gens se lancent là-dedans sans vraiment savoir où s’en aller », a-t-il reconnu. Ce sont particulièrement ces gens, qui composent son public cible, qu’il propose de guider et d’accompagner dans l’apprentissage de leur nouvelle passion.
TECHNOLOGIE NOUVELLE AU QUÉBEC
Pour sa part, Technologies LLE de SaintAndré-d’Argenteuil s’est distinguée dans la catégorie Services aux entreprises. Son président, Jean-François Lavallée, a expliqué que l’entreprise se spécialise en caractérisation de sites à haute résolution. Son entreprise est la première au Québec à utiliser une technologie récente qui permet des analyses beaucoup plus précises et rapides que les technologies traditionnelles. Avec des sondes directement sur le terrain, Technologies LLE offre des analyses de sols en temps réel et de façon très précise. « On sait exactement où ça (les contaminations) commence et où ça finit », a informé M. Lavallée.