La Liberté

HISTOIREVR­AIE…..???

Voici ce que racontGran­d-père, raconteur renommé da sa communauté :

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« Dans l’ancien temps, l « Dans l’ancien temps, l famille, on veillait le cos dans le salon à la maison. Les gens venaient tourour pour prier et offrir leurs condoléanc­es, ceci peant une ou deux journées. Parfois les gens venat de loin et demeuraien­t plusieurs heures ou que es jours. Alors, on préparait de la nourriture pour s visiteurs. Il y avait aussi, d’habitude, un cor de d salé (un baril de viande marinée) dans la maison Plusieurs personnes étnt présentes pour veiller le corps. L’atmosphère éit pieuse, respectueu­se et paisible dans la petite ison. Tout était très obscur par respect. Les rideautaie­nt fermés, et on gardait les portes fermées. Als, on veillait dans la quasiu noirceur, sauf pour unedeux chandelles ici et là Néanmoins, la paradelenn­elle de gens continuait paisibleme­nt pendant ubon moment. Toutrité, quelqu’un trébucha sur à coup, dans l’obs un petit poêle à boiqui était très pauvrement fabriqué. Et le feu se réndit! Il y eut la panique! Les gens fuyaient et se bouslaient. Par-dessus les cris, on entendit un aîné métiser : « Sauvi le côrps! Sauvi le côrps! » C’était un peu la con ion partout! Alors, sans y penser, deux hommesui ne portaient pas trop attention et qui s’étaiepresq­ue endormis pendant les prières, se sont instinivem­ent précipités sur le cor de lard salé et l’ont imdiatemen­t sorti à l’extérieur en toute sécurité!… ». « Ont-ils finalement saé le bon corps, Pepère? » je demandais. Grand-père souriait der re sa pipe.

Raconteur :uison Lambert, né au Maoba en 1884.

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