Abattages de porcs en légère hausse aux États-Unis et au Québec
bonne productionannéeset le États-Unis L’arrivéerestede regarder occasionde aux : l’année porcineaprès États-Unisde les de l’automnela 2016.faire perspectivesdes DEP, et cinqle la au point dernièresproduc-est Québecsur pourune la tion productionAu retrouvecours des porcinesa années croissance américaine,2010 à 2012, d’en-la viron ment, 110a affiché millions une de légère têtes croissance annuellede 1,3 %. La diarrhée épidémique porcine (DEP) a commencé à faire des ravages à la fin de 2013, et ceux-ci se sont poursuivis pendant toute l’année 2014. Cette situation s’est reflétée sur la production, qui a encaissé une baisse de 1 % en 2013 et de 4,6 % en 2014, pour se chiffrer à 105,7 millions de têtes. À partir de 2015, la production s’est rétablie, pour ensuite passer au-dessusde mestrescine croissancedu( HogsAu têtes. dernier américainecours& de Pigs)de rapportde 2016,desla permettent1 barrea %. deuxla affichésur Les productiondes les premiers informations115 une inventaires d’anticiper millions légèrepor- trides pour analystes abattagesle dernierdu départementsemestreen hausse de de de 2016. 2,5 l’Agri- Les% culturedonc sur des une États-Unis croissance (USDA)de l’ordre tablentde 1,6 Québec% pour: le l’ensembleprix des céréalesde l’année affecte 2016. la rentabilité des fermes porcines La situation au Québec est différente. En effet, entre 2010 et 2014, nous avons assisté à une diminution des abattages de porcs québécois, qui sont passés de 7,6 à 6,8 millions de têtes durant cette période, une baisseCette partie, situationpar annuellele prix s’explique,moyenneélevé des de en aliments,2,7 bonne%. combiné aux resserrements au programme d’assurance stabilisation des revenus agricoles (ASRA), qui ont fortement réduit la liquidité des fermes. Toutefois, le Québec a été épargné des ravages de la DEP grâce au renforcement des mesures de biosécurité. Comme aux États-Unis, la croissance de la production s’est rétablie en 2015 (+3 %), pour atteindre les 6,9 millions de têtes. Pour 2016, les dernières prévisions anticipent une légère croissance de près de 0,5 %. Si cette situation se concrétise, les abattages de porcs passeront au-dessus de la barre des 7 millions de têtes, une première depuis 2012. C’est à suivre…