Les marchés mondiaux du sirop sont en constante croissance
le diaux blablementsirop Depuis Rappelons-nous développementd’érable prendrait2011, pas à ont uneen maintes d’abord presqueatteint2016! pause reprises,un un quelques foudroyantsommetjour. certainsEh chiffres.bien,desde 107,1 marchés analystesce En jour millions2015,ne acéricolesont serales de prévu ventes vraisem-livres mon- quede et les battu miers exportationsun mois recordde l’année canadiennesde 92,8 de millions commercialisationde produitsde livres. de Or, l’érable2016, après les ont, les venteselles sept aussi, sontpredéjà Quant supérieuresaux exportations,de 4,5 % ellesà cellessont ausside l’an supérieurespassé à pareillede 4,5 date.% à celles de l’an passé après huit mois d’année civile. Ainsi, même si les États-Unis ont eux aussi connu une saison de production record, le marché américain, qui compte pour 65 % des exportations canadiennes, a continué à se montrer affamé de sirop d’érable canadien. Soulignons à cet effet que le produit intérieur brut (PIB) américain s’accroîtra de tout près de 2 % encore cette année et que des études ont démontré une très grande corrélation entre l’accroissement du PIB et la consommation de sirop d’érable aux États-Unis, puisque, à l’exception des États producteurs du Nord-Est, le sirop d’érable demeure un produit de luxe dans ce pays. FédérationC’est à l’analysepeut dire de qu’elleces donnéesest à l’aiseet de avec nombreuses l’émission autresde cinq que mil-la lions de nouvelles entailles qu’elle vient de terminer. En effet, depuis 2008, l’accroissement annuel de la demande mondiale se chiffre à 6 %, ce qui représente environ neuf millions de livres par année. La Fédération, qui estime que cet ajout d’entailles entraînera la production d’une quinzaine de millions de livres supplémentaires, ne croit pas que les marchés seront encombrés, même si la production américaine augmente. De plus, en vertu de la décision historique de la Régie des marchés agricoles et alimentaires du Québec du 7 juin dernier, il appartient désormais à la Fédération d’évaluer elle-même l’évolution des marchés et d’émettre, si elle le juge nécessaire, de nouveaux contingents pour les combler. C’est donc dans ce sens que la Fédération entend poursuivre son patient travail amorcé depuis déjà un quart de siècle avec l’entrée en vigueur de son plan conjoint.