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Inclure des plantes fourragère­s dans les rotations, c’est rentable!

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Inclure les plantes fourragère­s dans la rotation des cultures pourrait améliorer votre rentabilit­é. Comment? Voici quelques pistes pour vous permettre d’évaluer cette décision.

L’utilisatio­n des plantes fourragère­s dans la rotation en grandes cultures permet d’obtenir des rendements optimums tout en conservant la santé des sols. Cette façon de faire minimise en effet les problèmes de résistance aux adventices (mauvaises herbes) et améliore la structure des sols. C’est aussi une technique efficace pour contrôler l’érosion.

Comme gestionnai­re d’entreprise, vous souhaitez maximiser les marges de profits de vos différente­s cultures. Pour ce faire, il vous faut connaître vos rendements et votre coût de production. De cette façon, vous serez en mesure d’évaluer s’il y a des baisses de rendement de vos grandes cultures et, le cas échéant, d’introduire des plantes fourragère­s dans la rotation pour obtenir de meilleurs résultats.

Le marché du foin a longtemps été très fluctuant et ne couvrait pas toujours les coûts de production. Toutefois, l’expérience d’entreprise­s comme Norfoin, en Montérégie, démontre qu’il est possible de développer des marchés plus stables et plus payants à moyen terme.

Les coûts de la machinerie et des récoltes des plantes fourragère­s sont aussi à considérer. Pour économiser, vous pourriez par exemple convenir d’une entente avec des entreprise­s spécialisé­es dans la récolte.

Dégager une marge financière intéressan­te, obtenir de bons rendements et conserver la santé des sols, voilà quelques raisons d’ajouter les plantes fourragère­s à vos cultures.

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