Réunis pour faire reconnaître les variétés
Des chercheurs, des producteurs et des négociants s de l’industrie de la pomme ont uni leurs forces afin n d’accélérer la mise en marché de nouvelles variétés de pommes au Canada.
D’après les membres du Consortium national de sélection des pommiers, les avancées dans le domaine ne de l’amélioration génétique des plants permettent d’offrir offrir aux producteurs des variétés plus résistantes aux maladies ladies et aux insectes.
Toujours selon l’organisation, l’industrie canadienne de la pomme a augmenté sa superficie pour la première fois en 2016 depuis des décennies. La production de variétés de qualité supérieure comme la Gala, la Honeycrisp et l’Ambrosia ainsi que l’aménagement de vergers à forte densité ont contribué à cet essor.
Les membres estiment que plusieurs régions canadiennes devraient être reconnues pour leurs propres variétés. « Il ne s’agit pas nécessairement de créer une nouvelle pomme qui peut être cultivée partout au pays, mais plutôt de développer une variété [qui produira] un fruit dont la qualité ne se trouvera nulle part ailleurs », fait valoir Joyce Boye, directrice scientifique des centres de recherche et de développement d’Agassiz et de Summerland (Colombie-Britannique) à Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC).
Formé l’an dernier, le groupe s’est donné l’objectif de rationaliser la création de variétés de pommes au Canada, d’accroître le rendement de l’industrie et de rehausser la satisfaction des consommateurs.
Le consortium est composé de plusieurs membres provenant d’AAC, de l’Université Dalhousie, du Centre de recherche et d’innovation de Vineland, de la Summerland Varieties Corporation, du Réseau d’essais de cultivars et porte-greffes de pommiers du Québec et du Conseil canadien de l’horticulture.