La Terre de chez nous

Jocelyne Cazin

- MARTINE LAVAL Collaborat­ion spéciale

La journalist­e d’enquête Jocelyne Cazin n’est pas du genre casanier, bien au contraire. Elle a un pied dans les Laurentide­s où elle a vécu durant plusieurs années, un autre à Montréal où elle vient d’emménager pour des questions pratiques, et un troisième en Floride où elle passe ses hivers. De plus, elle se balade à travers la province dans le cadre de ses nombreuses fonctions et dans le monde par agrément. Jocelyne Cazin est un véritable mille-pattes. Elle aime l’action et elle ne manque pas d’énergie.

Les Laurentide­s font partie de la vie de Jocelyne Cazin depuis l’enfance. Ses parents ont tenu pendant 22 ans le restaurant Le petit coin de France, à Saint-Sauveur. Après s’être éclipsée à Montréal pour vivre la carrière florissant­e qu’on lui connaît, la journalist­e d’enquête et animatrice d’affaires publiques est revenue s’installer dans une maison au bord d’un lac à Prévost, puis dans un condo à Sainte-Adèle. Ses nouvelles fonctions de « retraitée » et d’écrivaine la mènent maintenant aux quatre coins de la province. Elle a donc récemment choisi de déménager ses pénates dans endroit plus central au nord de Montréal, tout en gardant un pied bien ancré dans les Laurentide­s si chères à son coeur.

« Tu sors la fille des Laurentide­s, mais pas les Laurentide­s de la fille! lancet-elle. J’y suis toujours bien accrochée par des liens amicaux solides qui datent de l’enfance, par mes activités de golf dont je suis passionnée et de tennis que je pratique également. De plus, mes randonnées dans l’arrière-pays et la beauté des paysages continuent de me subjuguer en automne tels des jardins multicolor­es. »

Elle est membre du Club de golf Val-Morin, joueuse de tennis au Mont-Habitant avec ses amies d’enfance, membre très active de l’Associatio­n des auteurs des Laurentide­s et cliente assidue des bonnes tables de la rue principale de Saint-Sauveur et de Sainte-Adèle.

« Quand je suis à Montréal, j’apprends à me faire une vie, mais quand je suis dans le Nord, je l’ai, ma vie! »

À la suite de l’écriture de son premier livre J’ose déranger, Jocelyne Cazin donne des conférence­s, anime des congrès et des panels, et voyage en voiture comme en avion. Son nouveau lieu de vie urbain à proximité de toutes les autoroutes et de l’aéroport est donc bien pratique pour elle, en plus de lui offrir un grand choix de spectacles et de bons restos.

« Cette vie urbaine me convient tout à fait pour cette troisième partie de ma vie », avoue celle qui s’apprête à s’envoler vers le Sud pour continuer sous le soleil les activités qui la gardent en bonne santé. « Mais dans les Laurentide­s, mon coeur bat! » conclut-elle.

« Le golf me permet de me tenir en forme physiqueme­nt et de tester mon caractère chaque fois que je joue! »

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Les terrains de golf où joue Jocelyne Cazin lui permettent de découvrir de nouveaux paysages situés dans les plus beaux endroits.
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Jocelyne Cazin joue souvent au tennis avec ses amies d’enfance.

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