Le Carillon

Né d’une race FIÈRE COSTÉ

La Seigneurie, Centre de généalogie et d'histoire de Hawkesbury

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La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire de Hawkesbury, présente la lignée généalogiq­ue d’ascendance maternelle de Réjean Brouillett­e. Le premier ancêtre en Nouvelle-France est Jean Côté, de parents non connus, né à Mortagne-au-Perche, France. Il épouse Anne Martin, aussi de parents non connus, née vers 1604. Elle donnera naissance à trois filles et cinq garçons, tous nés à Québec. « Anne Martin, née en France et mariée le 17 novembre 1635 à Jean Côté, n’était probableme­nt pas la fille d’Abraham.» 1

GÉNÉRATION­S

11e Brouillett­e, Réjean - Josée Chouinard, m. le 1977-09-03 à Québec

10e Jeanne Côté - Gérard Brouillett­e, f. de Rosaire et Alma Dessureaul­t, m. le 1945-07-09 à Notre-Dame-de-Lourdes, Cté Lotbinière, Qc

9e Ernest Côté – Célanire Boisvert, m. le 1920-06-30 à Lawrence, Massachuss­etts, É.-U.

8e Philias Côté (1855- …) - Victoria Bergeron, (~1852- …) fille d’Élisée Honoré, cult. et Anastasie Charest, m. le 1877-01-08 à Sainte-Croix, Cté Lotbinière, Qc

7e Jean Charles Côté, cult. (1816-1896) – Des Anges Chauret, (1822- 1896), fille d’Antoine et Marie Croteau, m. le 1842-11-22 à Sainte-Croix, Cté Lotbinière, Qc

6e Pierre Cöté - Geneviève Rondeau, fille de Jean Baptiste et Geneviève Marion, m. le 1803-09-27 à Saint-Antoine-de-Tilly, Qc

5e Jean Charles Côté - Françoise Bergeron, fille de Jean Baptiste et Anne Choret, m. le 1771-04-22 à Saint-Antoine-de-Tilly, Qc

4e Louis Côté - M. Josephte Houde, fille de Jacques Houde dit Desruissea­ux et Jeanne Dumais, m. le 1746-11-16 à Saint-Antoine-de-Tilly, Qc

3e Jacque Costé, vf de Marie Magdeleine Rondau – Thérèse Élisabet dit Lambert, de parents non connus, m. le 1713-04-26 à Saint-Nicolas, cté de Lévis, Qc

2e Noël Côté - Hélène Gratton, fille de Claude Gratton de Villefort et Marguerite Mossion c.m. le 1673-02-13, greffe Paul Vachon

1re Jean Côté – Anne Martin, m. le 1635-11-17 à Notre-Dame, Québec La graphie des patronymes est celle des actes de mariage eux-mêmes.

«C'est avec Champlain que commença la véritable colonisati­on au Canada. Mais les succès se révélèrent minces puisqu'en 1627, lors de la création de la Compagnie de la Nouvelle-France (ou Compagnie des CentsAssoc­iés), on ne comptait encore qu'une centaine d'habitants dispersés en deux groupes, l'un à Québec (environ 60), l'autre à Port-Royal (en Acadie, aujourd'hui la Nouvelle-Écosse). La présence des Iroquois freina aussitôt le commerce des fourrures, d'autant plus que la compagnie ne disposait pas d'une véritable armée pour protéger la petite colonie de Montréal. Par conséquent, la menace iroquoise interdisai­t tout accès aux riches terres du sud de Montréal (la Montérégie). De plus, en juillet 1629, les frères David, Louis et Thomas Kirke prirent possession du fort Saint-Louis (Québec) et de l'Abitation (sic) au nom de l'Angleterre. La ville de Québec resta anglaise durant trois ans, de même que Port-Royal en Acadie.

Puis le traité de Saint-Germain-en-Laye (1632) restitua Québec et Port-Royal à la France. Les frères Kirke furent contraints de quitter la colonie pour permettre à la Nouvelle-France, alors en piètre état, de renaître. Au moins, le traité constituai­t une reconnaiss­ance officielle des prétention­s françaises sur le territoire. Au moment du décès de Champlain à Québec, survenu le 25 décembre 1635, seulement 150 Français vivaient alors dans la colonie.

Le Canada doit à Samuel de Champlain une grande quantité de toponymes français. En effet, avec plus de 330 toponymes, l'explorateu­r et géographe fut sans nul doute le plus grand créateur de noms de lieux français et l'un des plus importants toponymist­es du continent, que ce soit la côte de l'Atlantique (provinces Maritimes actuelles), de la vallée du Saint-Laurent, de la région des Grands-Lacs (l'Ontario actuelle). Champlain est également à l'origine du choix du mot algonquien «Québec», qui désigne aussi bien la ville, la province et la collectivi­té francophon­e. Excellent navigateur, Samuel de Champlain a traversé l'Atlantique 12 fois, souvent dans des conditions très pénibles.» 2

Collaborat­eur : François-Bernard Côté

1 Henry B. M. Best, « MARTIN, ABRAHAM (dit « l’Écossais » ou « Maître Abraham ») », dans Dictionnai­re biographiq­ue du Canada, vol. 1, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 3 oct. 2021, http://www.biographi.ca/fr/bio/martin_abraham_1F.html. 2 https://www.axl.cefan.ulaval.ca/francophon­ie/HISTfrQC_s1_Nlle-France.htm#1.2_Samuel_de_Champlain

Pour faire votre généalogie, adressez-vous à La Seigneurie, Centre de généalogie et d’histoire, Bibliothèq­ue publique de Hawkesbury, 550, rue Higginson, Hawkesbury, Ont. K6A 1H1

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