À surveiller côté danse
Les grandes formes Absolument incontournable!!! (Et on use rarement des!!!.) Tous vers Ottawa pour voir de visu les classiques de Pina Bausch, Café Müller et Le sacre du printemps (ci-dessous) Au Centre national des arts d’Ottawa, en septembre.
Les Québécois établis. Une nouvelle pièce de groupe de José Navas (l’Agora, octobre) et de Marie Chouinard (ci-dessous). Danse Danse, en septembre.
L’énergie contagieuse. Hofesh Shechter. Danse Danse, en novembre.
Karaoké et silence. Les spectateurs pourront-ils résister à l’envie de chanter par-dessus les pièces de Cohen? Car les Ballets jazz de Montréal sont les seuls, en arts vivants, à pouvoir les utiliser sur scène. Leur spectacle-hommage sera-t-il à la hauteur des attentes, et des oeuvres qui existaient déjà sur Cohen et qui sont contraintes, pour quelques années, au silence pour cause de clause d’exclusivité ?
Les découvertes
D’ailleurs. Dansu, un programme japonais (l’Agora et Tangente, octobre) pour goûter aux oeuvres de Kaori Seki, de Mikiko Kawamura, de Zan Yamashita, ainsi qu’aux films de Saburo Teshigawara. Le retour du Ghetto Blaster dans Piece for Person and Ghetto
Blaster, de Nicola Gunn. Usine C, en septembre.
Les petites formes
La tête d’affiche. Daina Ashbee (ci-dessous) propose sa nouvelle création courte, Serpentine. Usine C, en octobre. Le suivi. Retour de Geneviève C. Ferron et de sa signature prometteuse. Tangente, en novembre.
Méthode ou folie. Retour de l’attachante Dulcinée Langfelder (à gauche), en solo, avec deux spectacles différents, l’un à Montréal (Quartiers Danses, septembre) et l’autre à Québec. Salle Albert-Rousseau, en novembre.
La fin du nomadisme de l’Agora de la danse et de Tangente leur permet de revenir à des programmations pleines. Cette saison danse est donc riche. Voici les jalons, puisqu’il faut bien choisir même quand cela est cruel, proposés par les critiques du Devoir.