À SURVEILLER AUSSI
En janvier
Naomi Alderman. Le pouvoir (Calmann-Lévy), quatrième roman de l’Anglaise Naomi Alderman, intrigue : aux quatre coins du monde, les femmes découvrent qu’elles détiennent le « pouvoir », alors que du bout des doigts elles peuvent infliger douleur fulgurante et mort à volonté.
Claire-Louise Bennett. Premier livre de Claire-Louise Bennett, Londonienne installée en Irlande, L’étang (L’Olivier) nous promet une plongée originale et ciselée dans l’infra-ordinaire d’une vie à la campagne.
En février
Donatella Di Pietrantonio. La revenue (Seuil) de Donatella Di Pietrantonio a remporté en 2017 le prestigieux prix Campiello (le Goncourt italien). Fernando Pessoa.
Trente ans après sa découverte par les lecteurs francophones, une toute nouvelle traduction du Livre de
l’intranquillité de Fernando Pessoa trouvera sa place en librairie sous une forme et un titre un peu différents: Livre(s)
de l’inquiétude (Christian Bourgois).
Sayaka Murata. Prix Akutagawa en 2016, Konbini, de Sayaka Murata (Denoël), explore sur un mode trouble et poétique le quotidien d’une vendeuse dans un dépanneur à la japonaise.
En mars
Jorge Volpi. Le Mexicain Jorge Volpi se fera personnel dans Examen de mon père (Seuil), où il se livre à une dissection de ce grand corps malade qu’est le Mexique.
Aharon Appelfeld. Ultime roman de l’écrivain israélien Aharon Appelfeld, décédé le 4 janvier dernier, Des jours d’une stupéfiante
clarté (L’Olivier) raconte le voyage d’un rescapé des camps de la mort nazis à travers l’Europe centrale.
Mo Yan. Quant à lui, le Chinois Mo Yan, Prix Nobel de littérature 2012, nous offre Chien
blanc et balançoire (Seuil), des nouvelles racontant avec cruauté et humour sept souvenirs de jeunesse.