Fibre documentaire et téléréalité
L’entrevue. Le concept de docuréalité de « métiers » prend une tout autre dimension dans cette adaptation québécoise d’un concept britannique qui permettra aux téléspectateurs d’assister à de véritables entretiens d’embauche, dans différents secteurs d’activité, un peu partout au Québec. Moi et cie, dès le 2 février.
Aiguille sous roche. Les antivaccins et la portée du discours scientifique dans notre société sont les sujets du dernier documentaire concocté par l’humoriste Louis T. Télé-Québec, le 10 février.
La fin des faibles. La chaîne publique québécoise se lance à sa façon dans le télé-crochet musical. La compétition de rap en français, animée par Pierre-Yves Lord, aura pour juges Koriass, Sarahmée et Souldia. Télé-Québec, dès le
1er mars. Le grand move. Mariloup Wolfe est à la barre de cette série documentaire qui se penche sur le phénomène très « tendance » des familles des grands centres urbains qui migrent vers les régions. Canal vie, dès le 29 mars. 39-45 en sol canadien. Claude Legault sera le guide de cette série documentaire québécoise qui consacre ses 13 épisodes aux événements marquants qui se sont produits au pays durant cette période très houleuse de l’histoire moderne, à travers les témoignages de ceux qui les ont vécus, entre autres. TV5, en avril.
C’est plus qu’un jardin. La « vedette » des Fermiers, Jean-Martin Fortier, se fait guide pour ceux qui aspirent à l’autosuffisance alimentaire dans cette série documentaire. Il accompagne, avec l’aide de son acolyte Dany Bouchard, une famille qui veut concrétiser son désir de produire tout ce qu’elle mange, ou presque. Unis, en avril.