Le Journal de Montreal - Weekend
STÉPHANE ARCHAMBAULT (Mes Aïeux)
Comment s’était passée votre première présence aux FrancoFolies?
On jouait à la Scène Le lait, à l’intérieur du Complexe Desjardins. Ce n’était pas une scène très glorieuse, mais pour nous ç’a été une sorte de consécration.
Qu’est-ce que ce festival francophone représente pour vous?
C’est le rendez-vous annuel pour raffermir les liens de solidarité entre la Belgique, la France et le Canada. Ça donne l’occasion de prendre le pouls d’où est la musique francophone à l’heure où l’on se parle. C’est l’occasion pour Montréal de montrer son visage francophone, au niveau musical.
25 ans de FrancoFolies, c’est...
...un début. Il faut que ça continue. C’est presque un combat, la langue francophone en Amérique. Mais la plus belle façon de se battre contre la globalisation, c’est par la culture. Notre plus belle arme, c’est la chanson.