Fishing time
Samedi, la royale petite famille royale nous est passée plusieurs milliers de pieds par-dessus la tête (!) ayant décollé de Grande-Bretagne vers Victoria, de la Colombie très britannique. Par-dessus nos têtes naïves et inoffensives, mais sur notre bras... meurtri. Charlotte et George avec maman Kate et papa William sont en visite pour une semaine dans l’Ouest. Accueillis samedi par Justin et Sophie... qui avait sorti un de ses beaux chapeaux. Qu’est-ce que c’est, dans le fond, de sortir une couple de cent milles de la tite caisse pour recevoir de la belle visite monarchique. Internationalement, on n’est pas regardant. Sont beaux, sont fins, sont propres et ils ne dérangent personne. Petite visite d’un village indien qui danse en plumes, un salut garde-à-vous aux militaires et timide dégustation de vin, c’est du monde facile à recevoir. Le plus beau, c’est que papa William jase moins que la petite Charlotte d’un an. Y peut pas se mettre dans le trouble.
LA VIE SALE
Et attention! William n’est pas le genre qui passe la journée à se poigner le cellulaire ou à jouer avec sa tablette. Le futur roi est travaillant. Dans sa seule journée de vendredi, il fera une descente en canot, participera à la cérémonie d’ouverture d’un hôpital et achèvera sa journée par une excursion de pêche. Ça devrait mordre parce qu’avec eux autres, les rois, ça mord tout le temps.
Samedi, la petite famille remontera dans son avion... pardon, je veux dire notre avion, et repartira régner chez elle, à Buckingham la tranquille.
La semaine prochaine, William recevra sans doute quelques chums au palais et leur fera préparer un délicieux souper de saumons du Pacifique et, en levant son verre, il dira: «Des poissons que j’ai pognés au Canada...»
MARDIAGE
Bientôt match en double. Angelina et Pier Karl contre Julie et Brad. En jeu? La Coupe des kids. Justin et les dépenses. Le budget, c’est bien beau de le déposer, mais il faut le lire aussi. L’automne est arrivé. Les feuilles, les lièvres et PK changent de couleur. Le python de Verdun trouve les nuits froides. Il cherche une combine... avec juste une jambe. Même au Banquier l’Impact s’est
fait planter.
À DEMAIN
On est donc pacifiques! Michel Villeneuve se promène avec des bombes et personne ne l’achale.