Sortez la religion de nos écoles
On devait enseigner l’histoire des religions, on se retrouve à bourrer le crâne des enfants en définissant leurs petits amis, non pas en termes culturels, mais en termes religieux. Ce qui devait rassembler, divise. Et pire encore, on n’accorde une place aux athées, aux non-croyants ou aux non– pratiquants qu’en secondaire 4. Alors que 80 % de la population québécoise vit sa vie sans croire ou sans pratiquer, on passe 10 ans à parler à nos enfants des croyants et des pratiquants! »