Trump était une bête de fête dans les années 1990
Des mannequins mineurs et de la coke à ses soirées
JDEM.COM | Donald Trump aurait souvent organisé des soirées au Plaza Hotel où de jeunes femmes, souvent mineures, étaient échangées entre des hommes d’affaires pour faire de la business. Un journaliste qui suit Donald Trump depuis les années 80 raconte tous les détails sur la bête de fête qu’était Trump.
Le journaliste et auteur Michael Gross a collaboré au Daily Beast pour rappeler aux lecteurs sa couverture de Donald Trump depuis les années 80. Après avoir publié un article où il décrivait les contrats d’affaires louches de Trump, deux hommes qui se sont amusés lors de ces fameuses fêtes se sont manifestés pour témoigner.
« RÉSEAUTAGE »
C’était à l’époque où Donald Trump avait acheté le Plaza Hotel pour 407 $ millions en 1988 (un équivalent d’environ 816 $ millions aujourd’hui), et il profitait des magnifiques suites pour animer des soirées pour des hommes d’affaires riches pour faire un peu de business. Pour attirer ces hommes d’influence, Trump utilisait de jeunes mannequins, souvent mineures, pour que les invités soient accompagnés.
Et pour les jeunes filles, l’attrait était de pouvoir rencontrer des hommes riches. «Vous allez rencontrer des hommes riches qui vont pouvoir vous aider», a raconté un témoin. «C’était du réseautage, mais à un niveau vraiment étrange. »
15 ANS
Les mannequins présentes avaient parfois seulement 15 ans et recevaient drogue et argent de la part des hommes invités. Gross explique qu’elles étaient traitées comme de la monnaie; et utilisées pour des transactions et ensuite, jetées de côté.
«C’était des hommes avec de très jeunes femmes, du sexe, beaucoup de sexe, beaucoup de cocaïne et de l’alcool. Mais pas de cigarettes, Trump n’aimait pas les cigarettes», explique l’un des témoins. Trump se promenait de chambre en chambre, avec plusieurs jeunes femmes et avait une vie sexuelle très active lors de ces fêtes, toujours selon le témoin.
Un deuxième témoin explique que malgré la présence de cocaïne, Trump n’y touchait pas. «C’est un homme qui se contrôle», a expliqué Andy Lucchesi qui organisait certaines de ces fêtes.