Le Journal de Montreal

Trois conseils pour s’initier sans casse-tête

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1 Sélectionn­er un refuge à moins de 2 km de randonnée

On s’évite une randonnée très longue avec tout le matériel sur le dos, et cela rend possible le retour à la voiture en cas de pépin ou d’oubli. On sent tout de même qu’on «s’enfonce» dans la forêt, et on vit une autonomie complète. Bien entendu, on peut aussi choisir des refuges plus proches, où la voiture se dessine au loin (au Diable Vert à Sutton, par exemple) ou encore plus près (les chalets rustiques de la SÉPAQ, notamment). À chacun son degré d’aventure!

2 Ne pas attendre

Ne pas attendre «de voir», selon la météo. On s’adapte, plutôt! Autrement, on finit par ne jamais se lancer. Ne pas attendre que les enfants soient plus grands non plus. Vous ne pourrez peut-être pas enchaîner les kilomètres à la dizaine cette année, mais, à tout âge, on peut trouver une formule qui plaira aux petits ou plus grands. «Ce n’est pas vrai qu’on attend que les enfants grandissen­t, et hop ils vont vouloir nous suivre dans nos randonnées, pense Katie. On commence petit, ensemble, on crée des expérience­s positives, et on ira plus loin, ensemble, éventuelle­ment.»

3 Définir son plan d’activités

Si on souhaite randonner avec les enfants et un traîneau, on choisit des sentiers peut-être un peu moins casse-gueule que le plus haut sommet de Lanaudière. Une boucle entre deux ou cinq kilomètres avec les toutpetits ou de plus grands qui marchent est un bon terrain de jeu selon les parents d’Un Bébé

sur les sentiers. Les fondeurs choisiront plutôt un réseau de ski qui permet l’utilisatio­n d’une remorque arrière. On regarde les prévisions météorolog­iques la veille, et on s’adapte de nouveau. Dans tous les cas, surtout, ne pas oublier le chocolat chaud au retour!

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