Bravo le «Yéti » !
VERONA, New York | Mon plaisir absolu en lisant mon journal, c’est Alain Bergeron qui me l’a donné lundi matin.
Bergeron, dit le «Yéti de Sotchi» puisqu’il a passé tous les Jeux olympiques caché dans sa montagne, a eu un flash de génie dimanche soir après la médaille d’or au 50 kilomètres d’Alex Harvey en Finlande.
Le «Yéti» connaissait l’ampleur fabuleuse de cette victoire mythique arrachée devant des dizaines de milliers de fanatiques en Finlande. Il le savait puisque Bergeron passe sa vie à voyager sur la planète pour couvrir nos meilleurs athlètes amateurs.
DU FLAIR
Le diable d’Alain a réussi à se faire inviter au souper de fête à la maison louée par Harvey et son équipe. Il a pris des photos et j’en suis convaincu au moins une petite frette oubliée par la femme de ménage dans le frigo. Le «Yéti» a un flair terrible pour les bonnes histoires et les petites frettes.
Mais ce n’était pas assez. La maison voisine était occupée par les techniciens. Et eux étaient vraiment sur le party. Je suis encore convaincu que la femme de ménage avait encore oublié une petite dans le frigo.
Ça nous a valu un texte extraordinaire dans Le
Journal de lundi. Le genre de texte qui te rappelle que ce métier mérite encore d’être pratiqué avec passion.
En comparaison, hier à Syracuse, Sylvain Lefebvre, le gentil coach des IceCaps de la Ligue américaine, était crampé par le stress parce que Mathieu Boulay lui posait quelques questions que les relationnistes du Canadien n’avaient pas eu le temps d’approuver.
Cherchez l’erreur…