Une mauvaise communication
Jeff Petry A Connu une soirée péniBle AveC un dossier de -3 dAns Ce revers de 4 À 2 Contre les BlACkhAwks, mAis C’étAit enCore pire pour son pArtenAire des 50 premières minutes À lA ligne Bleue, Alexeï Emelin.
«Nous devons mieux nous parler pour savoir qui s’occupe de la rondelle ou qui surveille un autre joueur devant le filet, a mentionné Petry. La communication n’était pas bonne ce soir (hier). Je ne suis clairement pas heureux du résultat et de notre match.»
Depuis la visite du CH à Toronto, le 25 février, Petry a perdu son partenaire pour une grande portion de la saison en Andreï Markov. À l’exception de la rencontre à Vancouver où Emelin était dans les gradins, l’Américain a joué avec le numéro 74 depuis que Claude Julien a réuni Markov à Shea Weber.
«Non, ce n’est pas plus difficile avec un nouveau partenaire, a résumé Petry. Tu trouves parfois un bon rythme avec un partenaire, mais les changements de duos à la ligne bleue sont fréquents. Toutes les équipes changent leurs duos. Et à l’attaque, les entraîneurs remanient les trios encore plus souvent. Ce n’est pas une excuse. C’est à moi de m’ajuster et de mieux communiquer avec mon partenaire.»
BRAVO À CRAWFORD
À l’image du dernier match contre les Oilers à Edmonton, Paul Byron a encore une fois sonné le réveil des siens à l’attaque. Le petit ailier a déjoué Corey Crawford après plus de 30 tirs en sa direction.
«Corey a vraiment été bon, a affirmé le numéro 41. Mais dans les deux premières périodes, nous n’étions pas assez souvent devant lui.»
Byron n’a pas eu peur de dire que les erreurs ont coulé le Tricolore.
«Contre une formation comme les Blackhawks, une petite erreur se transforme en but, a-t-il rappelé. Nous devrons être plus intelligents afin d’éviter de donner des deux contre un.»
WEBER SOULAGÉ
Crawford a terminé la rencontre avec 40 arrêts pour obtenir sa 28e victoire de l’année. Le gardien originaire de Châteauguay a vu des étoiles après avoir reçu une bombe de Weber directement sur son masque en deuxième période.
«J’étais soulagé de voir qu’il restait dans la rencontre, a mentionné Weber. Tu ne veux jamais blesser un rival. Je lui ai demandé en troisième période s’il se sentait bien et il m’a rapidement répondu que oui.»
PRICE S’EN VOULAIT
Dans un autre coin du vestiaire, Price croyait que son équipe en avait fait assez pour gagner.
«J’aurais aimé faire quelques gros arrêts pour changer le cours de cette rencontre», a souligné le gardien.
Sur le deuxième but des Hawks, celui de Johnny Oduya, Price a dit que la rondelle n’avait pas dévié.