Les chats et NOTRE SANTÉ
Je ne pense pas vous l’avoir déjà dit, mais j’aime mon chat ! Eh oui ! Je l’aime d’amour : il est beau, gentil et parfait en tout... pour un chat, bien sûr. Et je n’en suis pas gênée du tout, car je sais pertinemment que je suis loin d’être la seule à êtr
Comme nous sommes chanceux et chanceuses de les aimer autant, ces petites bêtes, car il semblerait que leur présence a un impact positif sur notre propre santé en plus de nous rendre heureux simplement par leur présence. Voici quelques exemples des effets bénéfiques d’avoir un chat à la maison pour notre propre santé, selon diverses études scientifiques.
DIMINUTION DU STRESS
On sait déjà que le relâchement d’ocytocine, une hormone, dans le cerveau a un rôle important à jouer au moment de l’accouchement et de l’allaitement, mais, plus récemment, des études ont démontré qu’elle a aussi un effet bénéfique sur le niveau de stress des gens. Effectivement, il semble que le fait de flatter Minou enclenche le relâchement de cette hormone et donc diminue conséquemment le stress chez la personne.
EFFETS BÉNÉFIQUES AU NIVEAU CARDIOVASCULAIRE
Dans une étude effectuée sur un programme de prévention des maladies cardiaques, on a démontré que les femmes de plus de 40 ans et les hommes de tous âges qui étaient propriétaires d’animaux avaient une pression sanguine et un taux de cholestérol plus bas que ceux qui n’en possédaient pas. Une étude de Dre Karen Allen a démontré que le fait d’être le propriétaire d’un animal améliorait et stabilisait certaines mesures comme la pression sanguine et la fréquence cardiaque prises chez des patients déjà traités pour l’hypertension avec un médicament lors d’activité mentale stressante.
MOINS DE RISQUES DE MOURIR
Dans le prestigieux Journal of Vascular and Interventional
Neurology, une étude a démontré un lien entre le fait de posséder un chat et la diminution du tiers du risque de décès relié à une crise cardiaque ou à un accident vasculaire cérébral.
MOINS DE RISQUES D’ÊTRE MALADE
En se basant sur des résultats de tests d’allergie obtenus sur des adolescents de 18 ans, une étude publiée dans le Journal of Clinical and experimental Allergy a démontré que vivre avec un chat à la maison durant notre première année de vie diminuerait le risque d’être allergique à un chat plus tard dans sa vie. Une autre étude a dévoilé que le fait d’être en contact avec un chat au cours de la première année de vie d’un enfant diminuait le risque d’infections pulmonaires et autres problèmes pulmonaires chez cet enfant au cours de la même période.
Une étude du Dr James Serpell a suivi un groupe de gens ayant récemment fait l’acquisition d’un chat ou d’un chien à la maison sur une période de 10 mois et l’a comparé à un groupe d’individus sans animaux. L’étude a démontré que les propriétaires d’un animal avaient rapporté significativement moins de problèmes de santé mineurs pendant cette période que les gens sans animaux.
L’EFFET DU RONRONNEMENT
Le ronronnement émet des fréquences vibratoires, entre 24 et 140 hertz, et celles-ci auraient des propriétés thérapeutiques. De nombreuses recherches démontrent que les sons entre 20 et 140 Hz auraient un effet bénéfique sur les os, les muscles, les articulations et les tendons et permettraient de calmer la douleur.