Shapovalov gagne encore
Internationaux des États-Unis
Hier, après avoir peiné tout le premier set en accumulant nerveusement des erreurs, il a plombé l’Anglais Kyle Edmund les deux sets suivants. Le match a pris fin après deux points dans le quatrième set quand Edmund a abandonné. Blessure au dos qui semblait irradier jusqu’au cou. Ça faisait bien mal.
La nouvelle coqueluche des Amerloques est donc venue rencontrer Brad Gilbert au centre du terrain. Il a répondu à ses questions, l’a rassuré sur l’absence de ses parents à New York. Son père est en vacances en Grèce et sa mère est occupée à préparer la saison d’automne à son club de tennis de Toronto.
Ben oui, le p’tit est tout seul à New York avec Martin Laurendeau. Comme un grand.
Mais Gilbert ne pouvait le laisser partir sans au moins une question « cute ».
– Explique donc aux 23 000 spectateurs comment on prononce ton nom ?
– C’est facile, Shapo comme dans « hat » et valov. Chapeau---valov ! Tu divises en deux et c’est facile.
C’est simple pour des Québécois ou même de jeunes Canadiens qui savent que Shapo (chapeau) c’est « hat » en anglais… mais pour des Américains qui pensent encore que Paris est en Arkansas ou au Texas, c’est pas évident.
On devrait avoir un 60 minutes sur cette explication au cours des prochains jours.
Mais en attendant, pour mettre ça simple : Chapeau Shapo ! rejean.tremblay@quebecormedia.com