LOUISE DESCHÂTELETS
Haro sur les idiots qui nous gouvernent!
Jeune dans les années 50, j’étais heureux que les guerres soient finies. Mais mon bonheur fut de courte durée. Les guerres ont repris de plus belle et se poursuivent dans le monde sans discontinuer. Pendant ce temps-là, les supposées décisions ainsi que les belles paroles des membres de l’ONU ne sont que bavardage.
La surpopulation mondiale est une menace et la Chine ne cesse d’empiéter sur la mer de Chine pour agrandir son territoire en plus d’avoir annexé le Tibet. Alors qu’elle avait adopté la règle d’un seul enfant par famille, elle permet désormais aux couples chinois d’en avoir deux. L’Inde de son côté va bientôt dépasser la Chine en termes de population, tout en ne protégeant pas les femmes contre le viol et les abus de toutes sortes.
Dans les pays arabes, c’est la loi de l’âge de pierre qui prévaut. En conformité avec certaines écritures, on protège les femmes du regard concupiscent des hommes par le voile, on donne aux hommes le droit de posséder autant de femmes que de chameaux et on manufacture les enfants au nom d’un bandit de grand chemin, tueur et violeur d’enfants. La dictature constitue le dernier maillon de cette chaîne de médiocrité : il faut abêtir le peuple et profiter de son autorité pour assouvir sa mégalomanie.
Tout converge vers une catastrophe mondiale. Et ce ne sont pas nos présidents et premiers-ministres qui vont régler la situation, car se sont des incompétents, purement et simplement. La seule façon de gérer un pays c’est d’exposer tous les aspects d’une décision à prendre, le négatif comme le positif, pour laisser ensuite le peuple décider, au lieu de laisser cela entre les mains d’un abruti qui s’est fait élire parce qu’il a serré plus de mains pendant sa campagne ou qu’il a triché sur son budget de publicité. On aurait du réagir dès le début devant les menaces de guerre, mais avec une majorité des membres de l’ONU qui pense plus à augmenter ses profits qu’à assurer une paix à long terme, le résultat ne pouvait être autre que ce qu’il est. Robert
Je ne partage pas votre pessimisme, et surtout pas le mépris que vous manifestez envers la classe dirigeante. Certes il y a des magouilleurs parmi les hauts dirigeants de certains pays, mais c’est loin d’être la majorité. De plus en plus de mesures sont prises pour filtrer le bon du mauvais grain et assurer la transparence en matière électorale. Et sincèrement, comment voulez-vous entretenir la flamme de l’espoir en l’humanité si on méprise comme vous le faites les gens qui la dirigent? Comment susciter des candidatures nombreuses et de qualité, si dès le départ on ne respecte pas ceux et celles qui veulent servir?
Petite note d’humeur et d’humour
Je vous lis tous les jours et j’imagine que vous devez en voir de toutes les couleurs parmi les gens qui vous écrivent. Hier, un monsieur critiquait votre opinion sur les musulmans. Sa signature était suivie du mot ingénieur. Pense-t-il vraiment que parce qu’il est ingénieur son opinion vaut plus que celle d’un autre?
Aussi j’ai lu plusieurs fois des lettres de gens qui vous demandent de leur faire parvenir certains produits ou de donner leur nom à certains organismes. En 2017, existe-t-il encore des gens qui peuvent penser que vous avez la capacité d’offrir des services personnalisés? Ma mère m’avait raconté que dans le temps où Séraphin régnait sur la radio québécoise dans les années 50, les gens envoyaient des vêtements à Donalda qui leur faisait pitié. Tout ça pour vous dire que j’admire ce que vous faites et que même si vous devez parfois assumer les bêtises qu’on vous envoie, d’autres lettres vous font sûrement sourire. Une « Représentante Avon » (lol)
Je préfère quand on apprécie mon travail que le contraire, mais je m’accommode très bien de la critique, surtout quand elle est constructive et me permet de m’améliorer.