Le cannabis pas dangereux ???
Truc de grand-mère pour se faire aimer de nos petitsenfants
Pour faire suite aux discussions conséquentes à la nouvelle loi sur le cannabis, j’ai eu envie de vous faire part de mon expérience avec ce produit. J’ai commencé à fumer à 17 ans sous l’influence d’amis. Ça n’a pas pris beaucoup de temps avant que l’accoutumance se manifeste. Mon habitude de prendre un ou deux petits joints de temps en temps est vite devenue quotidienne.
Puis mes notes scolaires se sont mises à dégringoler à mesure que la paresse s’installait en moi comme chez tous les consommateurs réguliers de pot. J’étais trop gelé pour faire des efforts. Au lieu de me diriger ensuite vers des études supérieures en fonction de mon potentiel, je me suis dirigé pour gagner ma vie, vers un métier que je n’ai jamais aimé.
Vers l’âge de 25 ans, je fumais de six à sept joints par jour. Inutile de vous dire que ma vie stagnait. Je végétais et je déprimais de plus en plus, au point d’en avoir des idées suicidaires. Dans mon for intérieur je croyais mener une vie décente, mais je me trompais royalement. J’étais constamment malheureux, dépressif et démotivé.
Aujourd’hui, après 38 ans de consommation dont au moins les 30 premières sur une base quotidienne, je ne touche plus à ce poison supposément inoffensif. Oh, j’ai bien fumé quelques joints par-ci par-là au cours des 8 dernières années, mais la déprime et l’agressivité se faisant vite sentir, ça me retenait de récidiver. Je suis désormais convaincu que ma vie aurait certainement été plus riche, plus facile et plus agréable sans ce poison qui rongeait ma santé mentale. Une chose est certaine, je suis un homme beaucoup plus heureux aujourd’hui. J’aimerais d’ailleurs tellement savoir ce qu’aurait été ma vie si je n’avais pas eu ce problème de consommation. Mais je ne le saurai jamais. Comme vous voyez, le pot n’est pas inoffensif, il est traître. Un gars dégelé et bien dans sa peau
Peu importe ce que vous auriez été si la consommation n’avait pas envahi votre vie. Ce qui importe, c’est de vous servir de cet accident de parcours comme d’un carburant pour donner à la suite de votre existence une tournure plus saine, susceptible de faire de vous une meilleure personne. Heureusement, tout le monde ne développe pas une dépendance aux substances, et il reste clair pour moi que malgré votre fâcheuse expérience, la vente légalisée et supervisée de pot vaudra toujours mieux que la vente et la consommation clandestine telle qu’elle se fait depuis toujours.
Je trouve triste la situation de cette grand-mère qui accueille dans sa maison de campagne son fils et ses deux garçons et qui se fait traiter comme une étrangère par les deux jeunes qui font comme si elle n’existait pas. J’ai envie de lui donner un truc que j’ai moi-même utilisé. Pourquoi ne pas faire un party pizza qui suivrait le visionnement d’un film choisi à leur intention ? On regarde le film puis on prépare les pizzas tous ensemble dans la cuisine ou autour du feu.
Pour créer des liens avec des enfants, ça demande du travail, mais c’est si gratifiant. Il faut découvrir ce qu’ils aiment et organiser des loisirs autour de ça. Et des petits gars, ce n’est pas comme des petites filles. Ça demande des activités plus énergiques. Cette dame doit aussi se faire connaître de ses petits-fils pour devenir sympathique à leurs yeux. Ce qui ne semble pas être le cas actuellement. Rosa
Bonne idée celle que vous suggérez là ! Mais vous semblez avoir oublié un élément important. Cette personne se définissait comme un être froid avec son propre fils, et ce dernier refusant d’intervenir auprès de ses propres enfants pour qu’ils se comportent mieux avec elle, les choses sont mal parties. Mais peut-être votre idée fera-t-elle son chemin en elle.