Une nouvelle formule à l’étude
LES PENGUINS PEUVENT-ILS REMPORTER LA COUPE STANLEY AVEC UN GARDIEN TALENTUEUX MAIS FRAGILE ?
Les directeurs généraux aimeraient bien ajouter quelques formations à la formule actuelle des séries éliminatoires.
C’est du moins ce que rapporte l’informateur Pierre Lebrun sur le site Athlétiques.
Les décideurs estiment que dans deux ou trois ans, une autre équipe se joindra à la Ligue nationale et que le total de 32 sera atteint.
Ils estiment qu’on devrait donc augmenter le nombre de formations lors du tournoi printanier.
Ils suggèrent plusieurs formules, mais celle qui retient le plus l’attention serait une idée émise par Bob Gainey il y a quelques années.
Pourquoi ne pas impliquer les formations terminant aux 7e, 8e, 9e et 10e places de chacune des associations et ensuite de disputer un match suicide. L’équipe ayant terminé au 7e rang affronterait celle de la 10e place, alors qu’une autre rencontre opposerait les formations des 8e et 9e positions.
ASSURER L’INTÉRÊT
Ainsi, on pourrait garder l’intérêt pendant une bonne partie de mars, ce qui n’est pas le cas présentement.
L’autre formule serait celle qui prônait jadis un classement général pour les deux associations et l’équipe de tête affrontait l’équipe ayant complété le calendrier au 8e rang et ainsi de suite.
Un fait est certain, quand Seattle fera son entrée dans la Ligue nationale, la présente formule des séries éliminatoires subira quelques modifications, c’est du moins ce que prétendent les directeurs généraux.
On peut les comprendre. Ils veulent protéger leurs emplois et quand 50 % des formations sont qualifiées pour le tournoi printanier, comme ce serait le cas avec
32 équipes et la formule actuelle, ce n’est pas toujours très rassurant pour les responsables du secteur hockey de chacune des formations.