Le Journal de Montreal

La routine santé de Julie Marcoux

- ELISA CLOUTIER

La journalist­e et animatrice de Québec Matin à LCN, Julie Marcoux est une grande sportive. Cycliste et fondeuse, la femme de 41 ans a toutefois dû ralentir la cadence depuis le passage de la cigogne il y a quelques mois.

« Au début de ma grossesse, j’ai dû tout arrêter, mais maintenant, je fais du vélo intérieur environ deux fois par semaine », indique-t-elle. Mais, en temps normal, celle qui a participé à six Grand Défi Pierre Lavoie enfourche son vélo une journée sur deux lors de la belle saison.

L’hiver, elle fait également du ski de fond régulièrem­ent, question de se « dégourdir » de son horaire du matin. « Je me lève habituelle­ment à deux heures du matin. Donc, lorsque je termine, je fais une petite sieste et ensuite je profite de la journée pour prendre l’air ».

GRAND DÉFI

« Mon objectif numéro un quand je fais du sport, c’est de me faire du bien mentalemen­t », précise celle qui oeuvre à TVA depuis 2006.

« En numéro deux, c’est d’arriver à la saison de vélo et être assez en forme pour suivre les gars. Je n’aime pas traîner de la patte, en fait, personne n’aime ça se retrouver derrière un peloton », rigole-t-elle. En temps normal, elle débute l’entraîneme­nt à vélo en novembre, pour être fin prête au Grand Défi de juin. « Pour avoir du plaisir, tu es mieux de t’entraîner et de te faire souffrir avant le Grand Défi que pendant ».

Sans faire de cachette, Julie Marcoux avoue que la motivation n’est pas toujours au rendez-vous lorsqu’elle s’impose une activité sportive.

« Ça ne me tente jamais d’aller m’entraîner, surtout quand je faisais le matin et que je sortais après une sieste. J’aimerais ça que les gens comprennen­t ça. Je suis comme tout le monde, ça ne me tente pas toujours d’aller m’entraîner, mais je pense à l’après, à l’endorphine qu’on sécrète et le bonheur que ça nous procure », explique-t-elle. « Le pire, c’est de s’habiller, ensuite c’est facile ! »

JUS DE LÉGUMES MAISON

Avec l’horaire du matin à LCN, Julie Marcoux doit aussi être discipliné­e en ce qui concerne ses habitudes alimentair­es. Son truc pour patienter jusqu’au dîner, une galette de riz avec du beurre d’amande et une pomme. Par ailleurs, depuis qu’elle est enceinte, elle boit un verre de jus de légumes maison par jour.

« J’ai une machine à jus de légumes dans laquelle je mets des betteraves, des carottes, pommes, oranges, gingembre et lime, c’est super bon ».

Outre le vélo, Julie Marcoux adore le ski de fond « pas de patin ». « L’hiver, quand les conditions sont belles, je pense que ça dépasse le vélo », affirme-t-elle.

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 ??  ?? « Ça ne me tente jamais d’aller m’entraîner, surtout quand je faisais le matin et que je sortais après une sieste... mais je pense à l’après, à l’endorphine qu’on sécrète et le bonheur que ça nous procure », explique Julie Marcoux.
« Ça ne me tente jamais d’aller m’entraîner, surtout quand je faisais le matin et que je sortais après une sieste... mais je pense à l’après, à l’endorphine qu’on sécrète et le bonheur que ça nous procure », explique Julie Marcoux.

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