Suggestion à madame Plante
Avant qu’une grande ville nous pique l’idée, on devrait organiser à Montréal le premier grand festival international du drone. Une série de compétitions réunissant les meilleurs pilotes au monde. Le lieu ? L’île Sainte-Hélène proposant différents sites où on démontre l’habileté des experts, toutes les possibilités d’utilisation de ces appareils, et pourquoi pas une course comme il y en aura une en France (Nice) en juin et en Arabie saoudite en septembre. Plus le temps avance, plus les drones se trouvent des missions modernistes. On les utilise pour des vidéos corporatifs, des recherches en forêt et plusieurs agriculteurs surveillent maintenant leurs champs depuis la maison.
Il est difficile de croire qu’un jour votre pizza arrivera par les airs, mais il est envisageable de penser que le drone pourrait être le premier sur les lieux d’un accident ou d’une catastrophe permettant à distance d’analyser prestement la situation afin de déléguer avec justesse les ressources de sauvetage nécessaires.
LES DEUX CÔTÉS
Évidemment, il y a toujours les pas fins qui tournent les drones du côté des prisons avec de mini-cargaisons de tabac, de cannabis, de cellulaires, de chargeurs et même de scies à métaux. En deux ans, la présence de plus de 200 drones a été signalée à proximité des centres de détention et près d’une dizaine ont été saisis. D’autres pas fins les utilisent à la chasse au gros gibier alors que certains épient des voisins. Le festival du drone de Montréal permettrait de bien concevoir tout ce que peut faire de bien et de mal cet appareil et comment en contrôler l’utilisation dans le futur avant qu’on ne vous vole vos steaks sur le barbecue.
L’EXPRESS DU VENDREDI
√ Donald Trump a commencé à apprécier Macron lorsqu’il a enlevé le « n » à son nom. √ Messmer veut absolument voir
Luc Ferrandez à son show. √ Quel party de Denis Coderre ! Même que certains drinks étaient mélangés au marteau-piqueur. √ De vrais criminels, ces étudiants.
Ils ont tous un casier. √ Besoin d’un clou ? Mettez du Botox
sur une vis.
À DEMAIN
Je passais un très beau vendredi jusqu’à ce que je réalise qu’on était jeudi.