Éviter l’arbitrage
Les joueurs vous diront comme Phillip Danault : « Je ne tenais pas à me retrouver devant un arbitre. J’ai entendu bien des histoires à propos de l’arbitrage, et je ne voulais pas vivre une telle expérience. »
N’allez pas croire que les dirigeants des équipes se sentent à l’aise dans un tel processus. Ils savent qu’ils devront démolir les arguments de leur joueur et une fois qu’ils auront établi leur point, quand l’entente sera conclue ou que le juge aura tranché, ces mêmes dirigeants exigeront un effort soutenu et constant de la part du patineur qu’ils ont matraqué.
À surveiller : Jacob Trouba, des Jets de Winnipeg. Au moment d’écrire ces lignes, il était toujours en discussion avec son employeur. Au départ des négociations, il exigeait 7 millions $ par saison. Les Jets lui proposaient une entente de 4 millions $. Oups !
Les Jets savent très bien que devant un arbitre, ils auront de la difficulté à avoir gain de cause.
PLUS DE PAPIER
Les Red Wings de Detroit ne vendront plus des billets en papier. Terminé !
Les acheteurs devront passer par un système électronique, on va leur attribuer un numéro de vente, ainsi que la location du ou des sièges.
Ainsi, soutient l’organisation, on va éliminer bien des problèmes.
Autant vous préciser que toutes les équipes professionnelles adopteront ce système dans un avenir très rapproché.