Le retour improbable de Tiger
Il y a à peine un an, TigerWoods pouvait à peine marcher. Il a accompli hier ce que bien des gens croyaient improbable : gagner un tournoi du circuit de la PGA.
Le grand maître du golf est revenu. A-t-il retrouvé tous ses attributs ? Peut-être pas. Mais on a revu le compétiteur, le grand champion, on a observé un homme qui a laissé voir ses émotions. Il est parti de loin, on connaît son histoire, on connaît les ennuis qui ont marqué sa vie à l’extérieur du terrain.
On connaît ses problèmes de santé : quatre interventions chirurgicales au dos. Il ne devait même plus jouer, selon certains observateurs.
Pourtant, on a revu hier celui qui a changé son sport. Il a gagné devant une galerie imposante, du jamais-vu à Atlanta. L’auditoire à la télé a triplé au cours des dernières semaines, alors qu’il a presque touché le sommet en quelques occasions.
Les amateurs lui ont témoigné un encouragement de tous les instants. Pas seulement ce week-end, mais depuis son retour. Hier, on l’a suivi pas à pas. On voulait participer à un événement particulier, le retour du golfeur d’influence.
Probablement le retour le plus spectaculaire dans l’histoire du golf et, à cet égard, dans le monde du sport.
Un golfeur qui a dominé son sport pendant de nombreuses années et qui revient, alors qu’il y a à peine quelques mois on ne croyait pas au miracle.
BYRON : BIEN MÉRITÉ
Paul Byron mérite amplement la confiance que les décideurs du Canadien lui ont témoignée en lui accordant un contrat de quatre ans. Depuis son arrivée à Montréal, Byron a rempli plusieurs missions et, chaque fois, il répond avec brio.
J’ai regardé le match entre les Maple Leafs et les Sabres de Buffalo, samedi, et Rasmus Dahlin n’a pas connu sa meilleure soirée. Cependant, même s’ils ont perdu ce match, les Sabres ont démontré de la détermination et cette équipe causera des surprises cette saison.
Dans la catégorie « Ne le cherchez plus », Jarred Tinordi – vous vous rappelez de lui – était au camp d’entraînement des Predators de Nashville. Hier, il a été soumis au ballottage. Par conséquent, il tombe dans la catégorie : « Mais où est-il passé ? »