Le monde des affaires réagit
« Ce nouvel accord viendra calmer l’incertitude qui planait sur l’économie canadienne. Mais il faudra surveiller plusieurs secteurs. Les producteurs de lait... auront besoin d’un plan de transition, d’une indemnisation adéquate et de garanties. » – Martine Hébert, v.-p. principale de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI)
« Nous sommes satisfaits [...] et répond favorablement en grande partie aux demandes du secteur manufacturier québécois. » – Véronique Proulx, PDG des Manufacturiers et exportateurs du Québec (MEQ)
« La conclusion de cet accord vient enlever une épée de Damoclès et permet un cadre clair et prévisible pour plusieurs années. » – Stéphane Forget, PDG, Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ)
« Un verre à moitié plein plutôt qu’un verre à moitié vide. » – Yves-Thomas Dorval, président-directeur général du CPQ (Conseil du patronat du Québec)
« C’est un accord qui est non seulement néfaste pour les producteurs laitiers du Québec, mais également pour l’ensemble des régions du Québec. Ce sont des centaines de communautés en milieu rural qui voient ainsi leur économie locale fragilisée. » – Jacques Demers, président de la Fédération québécoise
des municipalités
« Sans un niveau prévisible des importations et lorsque plus d’accès est consenti, la production baisse au Canada. ll en résulte des emplois perdus, une perte de production et une baisse d’accès aux produits canadiens à la consommation, sans faire mention d’une contribution réduite à l’économie du pays. »
– Benoît Fontaine, président des Producteurs de poulet du Canada.