TOUT LE MONDE MET LA MAIN À LA PÂTE CHEZ LES CANUCKS
Vancouver a récolté 15 points en 9 matchs depuis le 9 octobre
AGENCE QMI | Sans trop faire de bruit, les Canucks de Vancouver accumulent les succès au cours des dernières semaines, eux qui ont gagné sept de leurs neuf derniers matchs.
La troupe de l’entraîneur-chef Travis Green détenait en date d’hier le premier laissez-passer des équipes repêchées dans l’Association de l’Ouest après avoir bafoué les Panthers de la Floride 7 à 2 la veille.
Les bonnes performances en attaque des Elias Pettersson (14 points), Brock Boeser (10) et Bo Horvat (9) ont permis au club britanno-colombien de surprendre jusqu’à présent, mais la contribution de ses joueurs de soutien n’est pas à dédaigner.
Entre autres, J.T. Miller revendique 13 points, lui qui a touché la cible deux fois lundi.
Si les Canucks espèrent demeurer dans la lutte pour une place en séries, ils devront compter sur chacun de leurs éléments.
« La production des trios secondaires représente un grand facteur quant à l’issue d’un match de hockey. C’est une partie de la raison expliquant nos nombreux buts marqués chaque soir, a commenté Miller au site NHL.com. Chaque ligne d’attaque est sur la même longueur d’onde. Nous essayons de suivre ce processus collectif dont nous avons discuté, et les résultats le prouvent. »
UN BOULOT À CONTINUER
Le gardien Thatcher Demko est du même avis et croit qu’il s’agira d’une clé pour possiblement finir dans le top 3 de la section Pacifique.
« Si vous souhaitez bâtir une équipe de séries et aller loin en éliminatoires, vous devez miser sur plusieurs joueurs pouvant inscrire des buts, et ce, sur tous vos trios, a-t-il dit. C’est ce que nous voyons. Pour nous, cette profondeur est immense. »
« Nos quatre lignes contribuent et jouent du bon hockey. Cela garde tout le monde enthousiaste, a renchéri Pettersson au quotidien The Province. Je peux vous dire que tous dans le vestiaire ont confiance et veulent travailler fort. La victoire est la plus belle chose à obtenir et elle ne venait pas facilement au départ, compte tenu de notre début de saison. Il faut du dur labeur et de l’humilité. »
OPTIMISME
Aux yeux du Suédois, le mois d’octobre est un prélude de ce que les Canucks espèrent offrir d’ici la fin du calendrier régulier.
« Nous nous efforçons de bien faire et on pense à tous les petits détails ; c’est important pour nous. […] On veut jouer 60 minutes, ce qu’on a fait cette fois. »